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4 conseils pour trouver un emploi dans l’informatique

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Vous êtes attiré par les métiers de l’informatique ? Vous avez bien raison car les offres d’emploi et les perspectives de carrière sont florissantes. Dans le cadre d’un projet de reconversion professionnelle ou en premier poste, tout est possible. Le secteur de l’informatique fait référence au traitement automatique des données par des outils électroniques : des machines et des programmes. Il ne se concentre pas uniquement sur l’utilisation de l’ordinateur. Son domaine d’application est bien plus large puisqu’il traite de la cryptographie, de la gestion des données, de la robotique, de la domotique, de l’IA, de la cybersécurité… Comment trouver un emploi dans l’informatique ? Découvrez nos meilleurs conseils.

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1. Quels sont les emplois de l’informatique ?

1ère étape pour trouver un emploi dans l’informatique : 

  • Passer en revue les nombreuses opportunités professionnelles qui s’offrent à vous.
  • Puis, sélectionner le métier idéal en fonction des affinités et des souhaits de carrière. 

Plusieurs branches constituent le secteur de l’informatique : 

  • Les métiers du développement.
  • Les métiers des systèmes d’information, des réseaux et de la sécurité.
  • Les métiers du cloud.
  • Les métiers de la donnée.
  • Les métiers de l’IA.

Voici une liste non exhaustive des métiers qui pourraient vous intéresser : 

À vous de faire votre choix !

2. Quels sont les métiers de l’informatique les plus demandés par les recruteurs ?

Bonne nouvelle, l’informatique regorge d’emplois porteurs, variés, qui ne connaissent pas de crise du recrutement (et bien souvent des métiers très bien payés) ! 

La raison est simple : l’accélération de la transformation digitale des entreprises a créé au même moment un fort besoin de main-d’œuvre sur des postes clés. Elle a aussi fait naître de nouveaux métiers pour répondre aux enjeux informatiques qui évoluent très vite.

Autre élément d’explication pour justifier ce boom des métiers de l’informatique : aucune entreprise ne peut se passer des outils informatiques. Toutes en ont besoin, peu importe la taille ou le secteur d’activité, partout en France et dans le monde.

Vous cherchez à travailler dans l’univers du numérique et de l’IT ? Rassurez-vous, vous n’aurez aucun mal à dénicher l’emploi de vos rêves. 

Voici le top 5 des profils informatiques les plus recherchés par les recruteurs (Étude de rémunérations 2024 proposée par MichaelPage)

  • Développeur web applicatif.
  • Chef de projet SAP/Salesforce.
  • Ingénieur cloud.
  • Ingénieur data et machine learning.
  • Ingénieur cybersécurité.

Vous êtes tenté par l’un de ces emplois de l’informatique ? Une carrière florissante s’offre à vous.

3. Quelles formations suivre pour trouver un emploi dans l’informatique ?

Les métiers de l’informatique sont accessibles par la formation initiale. Mais aussi par la formation continue si vous avez un projet de reconversion professionnelle ou simplement pour monter en compétences au sein de votre organisation.

L’alternance est également une voie à privilégier pour s’orienter dans l’informatique. Elle allie enseignements théoriques et pratiques pour former au mieux les futurs salariés des entreprises. 

Les diplômes et les certifications obtenus seront vos précieux sésames pour convaincre les recruteurs que vous êtes LE collaborateur qu’il leur faut. Mais attention, pour que votre profil retienne toute leur attention, veillez toujours à sélectionner avec soin l’organisme de formation. Il doit proposer des formations reconnues par l’État, gage de sérieux et de fiabilité des enseignements délivrés. 

Les formations proposées par Fitec sont idéales pour tous les candidats en quête d’un emploi informatique. Le catalogue de formation est diversifié. 

En voici quelques exemples :

Reconnue par l’État, chaque formation : 

  • Se déroule à distance et/ou en présentiel, en synchrone.
  • Fait appel à des experts en poste pour former les étudiants et répondre aux besoins concrets des employeurs.
  • Enseigne les compétences informatiques les plus recherchées par les recruteurs.
  • Délivre des certifications ou des titres professionnels prisés par les entreprises.

Pour vous aider dans votre recherche d’emploi, Fitec propose aussi à chacun un coaching professionnel personnalisé.

4. Où chercher un emploi dans l’informatique ?

CDI, CDD, alternance, intérim, avec ou sans expérience… Pour dénicher l’offre d’emploi qu’il vous faut, plusieurs options s’offrent à vous : 

  • Faire appel au réseau professionnel de votre école ou de votre organisme de formation. Chez Fitec, l’employabilité est au cœur des préoccupations. 
  • Se rendre à des job dating organisés par les recruteurs. 
  • Consulter les jobboards généralistes ou spécialisés dans les emplois informatiques.
  • Consulter les annonces déposées par les recruteurs sur les réseaux sociaux professionnels.
  • Envoyer une candidature spontanée à l’entreprise qui vous fait rêver.
  • Faire appel à votre propre réseau personnel ou professionnel.

Prérequis incontournable avant de postuler : mettre à jour son CV des dernières formations informatiques suivies.

Comment réussir son entretien d’embauche de product owner ? Découvrez l’essentiel. 

Bon à savoir : bien souvent les candidats sont en position de négocier leur contrat de travail en raison de la pénurie de talents dans l’informatique. Télétravail, CDI, flexibilité, quête de sens, reconnaissance, temps partiel, équipe, système de rémunération, projets particuliers ou encore perspectives d’évolution, faites valoir vos attentes lors d’un recrutement.

Emploi dans l’informatique, ce qu’il faut retenir

Les débouchés professionnels dans l’informatique sont nombreux. Les conditions d’emploi sont avantageuses.

Ils concernent notamment les postes de développeur web et d’applications mobiles, de spécialiste en cybersécurité, d’administrateur de systèmes, de chef de projet informatique, de spécialiste en analyse de données.

Pour signer votre premier contrat de travail dans l’informatique : 

  1. Sélectionner un métier.
  2. Cibler des compétences particulièrement recherchées par les recruteurs.
  3. Suivre une formation adaptée.
  4. Rechercher l’offre d’emploi adaptée et postuler.

N’hésitez pas à négocier vos conditions de travail : CDI, salaire, télétravail et avantages divers.

Bonne chance !

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7 métiers qui recrutent dans l’IT et le digital pour une reconversion réussie en 2024

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Vous envisagez un changement de métier mais vous ne savez pas vers quoi vous orienter ? De nombreux secteurs sont en pleine expansion en 2024. En tête de liste, l’IT et le digital. Ils offrent des opportunités intéressantes pour ceux qui cherchent à se reconvertir dans le numérique. La réussite de votre changement de cap dépend des perspectives d’emploi. Voici une liste de 7 métiers qui recrutent en 2024 pour vous aider à prendre une décision éclairée.

Discussion entre collègues et recruteur

1er métier qui recrute : le développeur

Avec l’essor continu du numérique et l’accélération de la transformation digitale des entreprises, les développeurs sont de plus en plus sollicités. Ils font partie des profils d’avenir, pour lesquels les embauches seront certaines dans les prochaines années.

Le métier de développeur est en tension

  • Les besoins en main-d’œuvre des recruteurs sont similaires. 
  • La concurrence entre eux sur le marché de l’emploi est criante. 
  • Les candidats développeurs sont rares. 

Mais ne vous méprenez pas. Si les difficultés d’embauche n’existent pas pour ces profils, le métier demande de nombreuses compétences techniques (hard skills) et comportementales (soft skills) pour séduire les employeurs.

Outre la maîtrise des langages de programmation (JavaScript, Java, C++, C#, Python, Visual Basic, TypeScript, Go, Swiftt…) et des connaissances en gestion de projet, ce métier exigeant demande à être en veille constante sur les nouvelles technologies.

Fitec propose des formations en développement web pour vous donner les meilleures chances de décrocher l’emploi de vos rêves : 

Le salaire d’un développeur en France est très confortable et varie selon le niveau d’expérience (étude de rémunérations 2024, Hays France)

  • Développeur front-end, web ou mobile : 
    • 0 à 3 ans d’expérience : 38 à 43*.
    • 3 à 5 ans : 42 à 48.
    • 5 à 8 ans : 48 à 57.
    • + de 8 ans : 52 à 63.
  • Développeur back-end : 
    • 0 à 3 ans d’expérience : 40 à 44.
    • 3 à 5 ans : 45 à 50.
    • 5 à 8 ans : 50 57.
    • + de 8 ans : 55 à 66.
  • Développeur full-stack : 
    • 0 à 3 ans d’expérience : 42 à 44.
    • 3 à 5 ans : 47 à 52.
    • 5 à 8 ans : 52 à 57.
    • + de 8 ans : 57 à 73.
  • Lead développeur : 
    • 0 à 3 ans d’expérience : 45 à 52.
    • 3 à 5 ans : 52 à 57.
    • 5 à 8 ans : 57 à 68.
    • + de 8 ans : 68 à 78.

* Les rémunérations sont exprimées en Kilos Euros annuels bruts et ne tiennent pas compte des éléments variables et des avantages en nature.

Bon à savoir : l’étude Hays précitée positionne le développeur PHP dans le top 3 des métiers en tension en 2024.

2ème métier qui recrute : le data analyst

La digitalisation des processus en entreprise a démultiplié la collecte des données. On parle de Big data. Pour les analyser et en tirer des conclusions pertinentes, des professionnels formés doivent intégrer les organisations. En tête des besoins en recrutement, le data analyst.

Pour exceller sur ses fonctions, le data analyst doit : 

  • Avoir des connaissances en statistiques et en analyse de données.
  • Maîtriser des logiciels de visualisation de données (Tableau, Power BI).
  • Maîtriser des langages de programmation (Python, R…).

En France, un data analyst peut espérer un salaire de 40 000 € par an en début de carrière, avec des hausses significatives pour les postes plus expérimentés. Jusqu’à 80 000 euros brut par an pour un expert de plus de 10 ans d’expérience professionnelle (Étude de rémunérations 2024, MichaelPage).

Vous souhaitez vous former à la data ? Fitec propose une formation Data Analyst. Renseignez-vous.

3ème métier qui embauche : l’ingénieur en cybersécurité

Conséquence directe de la transformation digitale des entreprises, la multiplication des cyberattaques. Pour lutter contre et se protéger, les organisations investissent massivement dans la cybersécurité

Parmi les métiers de la cybersécurité qui recrutent le plus, l’ingénieur en cybersécurité fait partie du top 5 (étude des rémunérations MichaelPage citée plus haut). Dans ce même domaine, d’autres professions ont également le vent en poupe, comme celles d’analyste cybersécurité ou de consultant cybersécurité.

La mission principale de l’ingénieur en cybersécurité est d’assurer la sécurité des systèmes informatiques de l’entreprise pour laquelle il travaille. Il est aussi chargé de détecter les éventuelles failles sur les réseaux internes et externes de l’organisation.

Les compétences requises sont nombreuses : 

  • Une bonne connaissance des systèmes de sécurité informatique.
  • De bonnes bases en développement.
  • Des aptitudes en cryptographie.
  • La maîtrise des outils de détection et de prévention des intrusions.

Les spécialistes de la cybersécurité doivent aussi être curieux, agiles et disposer d’une bonne adaptabilité aux nombreuses évolutions technologiques. 

Une bonne formation d’analyste cybersécurité vous enseignera l’essentiel à savoir pour prétendre à une grande variété de postes dans ce secteur. 

Le salaire versé est à la hauteur des enjeux attendus (étude des rémunérations MichaelPage)

  • Moins de 2 ans d’expérience professionnelle : entre 40 et 50 000 euros brut par an.
  • Entre 2 et 5 ans : entre 50 et 60 000 euros brut par an.
  • Entre 5 et 10 ans : entre 60 et 70 000 euros brut par an.
  • Plus de 10 ans : entre 70 et 85 000 euros brut par an.

L’avenir pour les métiers de la cybersécurité est radieux avec une augmentation continue du volume de recrutement au moins dans les 5 prochaines années.

4ème métier qui recrute : le spécialiste en marketing digital

Le marketing digital est essentiel dans toutes les entreprises qui ont opéré une transformation numérique. Face à des candidats aux profils généralistes, la spécialisation digitale fait toute la différence. Elle illustre la tendance d’hyperspécialisation des compétences qui se dessinent depuis quelques années.

La quête de profils formés aux techniques et outils digitaux est constante. Les métiers sont variés : 

  • Chargé de webmarketing.
  • Chargé de e-commerce.
  • Responsable CRM Salesforce.
  • Trafic manager.
  • Community et social media manager.
  • Rédacteur web.
  • SEO analyst.
  • Growth Hacker…

Les compétences suivantes sont attendues des employeurs : 

  • Maîtrise des outils de marketing numérique (SEO, SEM, réseaux sociaux…).
  • Analyse de données et reporting.
  • Créativité et capacité à innover.

Les salaires sont très variables d’un métier du marketing digital à l’autre. En début de carrière, ils démarrent aux alentours de 30 – 35 000 euros brut par an. Avec des hausses possibles pour les postes les plus stratégiques.

Bon à savoir : les prochaines formations proposées par Fitec formeront les community manager et les rédacteurs web de demain. Renseignez-vous pour connaître les dates de formation.

5ème métier qui recrute : l’architecte clourd

Avec l’adoption croissante des solutions cloud, les architectes cloud sont devenus des profils incontournables pour les entreprises qui ont initié leur transformation numérique.

Les différentes missions de l’architecte cloud sont déterminantes pour assurer la pérennité informatique de l’organisation

  • Concevoir des architectures robustes.
  • Sélectionner les technologies appropriées.
  • Superviser la migration des systèmes existants vers des environnements cloud.

Les compétences techniques principales pour exercer ce métier sont les suivantes : 

  • Une connaissance des plateformes cloud (AWS, Azure, Google Cloud…).
  • Des connaissances en architecture de systèmes.
  • La maîtrise des pratiques de sécurité des données dans le cloud.
  • Des connaissances en gestion de projet.

Du côté des soft skills, les futurs architectes cloud doivent : 

  • Aimer le travail en équipe.
  • Être en capacité de résoudre des problèmes complexes.
  • Avoir une bonne communication.
  • S’adapter à un environnement qui évolue vite.
  • Être curieux.

La rémunération d’un architecte cloud est très confortable (étude de rémunérations 2024, Hays France)

  • 0 à 3 ans d’expérience : 52 à 54.
  • 3 à 5 ans : 54 à 61.
  • 5 à 8 ans : 61 à 75.
  • + de 8 ans : 73 à 78.

6ème métier qui embauche : le product owner

Le Product Owner (PO) est responsable de la vision et de la direction du produit. Il est un acteur clé de la digitalisation des entreprises.

Il a pour mission principale de créer et de communiquer une vision claire du produit aux équipes de développement mais aussi à toutes celles qui sont concernées. Tout en restant aligné avec les objectifs stratégiques de l’entreprise.

Il se sert d’une roadmap produit pour guider ses projets.

Ses savoir-faire clés : 

  • Il connaît le secteur d’activité dans lequel il travaille, mais aussi les besoins de ses utilisateurs.
  • Il maîtrise les méthodes de gestion de produit, telles que la méthode Agile et la méthode Scrum.
  • Il maîtrise la création et le suivi de roadmaps produits.
  • Il collecte et analyse des données pour prendre des décisions éclairées.

Ses savoir-être clés : 

  • Une excellente communication.
  • Un leadership.
  • Une capacité à trouver des compromis et à prioriser les demandes de manière efficace.
  • Une bonne organisation.

La formation Product Owner proposée par Fitec vous livre tous ces fondamentaux. Dans le cadre d’une reconversion professionnelle ou de votre formation initiale.

En tant que PO, vous pouvez espérer toucher les rémunérations suivantes (étude des rémunérations MichaelPage)

  • Moins de 2 ans d’expérience professionnelle : entre 38 et 45 000 euros brut par an.
  • Entre 2 et 5 ans : entre 45 et 55 000 euros brut par an.
  • Entre 5 et 15 ans : entre 50 et 70 000 euros brut par an.

7ème métier qui recrute : le spécialiste DevOps

Le DevOps a pour mission principale d’améliorer l’efficacité et la fiabilité des opérations informatiques. Notamment, il optimise les workflows et les stratégies de déploiements. Pour ce faire, il travaille en étroite collaboration avec les équipes informatiques. 

Son rôle clé, au cœur de la transformation numérique, en fait un acteur incontournable et très recherché. 

La formation administrateur DevOps proposée par Fitec vous délivre toutes les compétences nécessaires pour postuler aux nombreuses annonces d’emploi que vous trouverez : 

  • Connaissance des outils DevOps.
  • Automatisation et gestion de configuration.
  • Expérience en gestion de projet.

Le salaire moyen d’un spécialiste DevOps en France est compris entre 40 000 et 46 000 € par an, avec des possibilités d’atteindre 70 000 € ou plus avec de l’expérience (source Glassdoor).

Métier qui recrutent, ce qu’il faut retenir

Se reconvertir dans l’IT et le digital en 2024 peut être une décision judicieuse dans le cadre d’une reconversion, compte tenu des nombreuses opportunités disponibles. 

Les 7 métiers proposés offrent des perspectives de carrière attrayantes avec des salaires compétitifs. 

Le secteur de l’IT et du digital est porteur. N’hésitez plus à vous lancer dans une carrière passionnante.

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Nos meilleurs conseils pour un changement de métier sans prise de risques

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Vous avez décidé de changer de carrière professionnelle ? Vous avez bien raison, la quête de l’épanouissement personnel nécessite parfois quelques ajustements professionnels. Mais sachez que la route est longue avant d’atteindre votre objectif de reconversion. Parfois même sinueuse. Pour tout projet, le risque zéro n’existe pas. Y compris lors d’un changement de métier. En revanche, connaître les écueils pour mieux les éviter est fondamental. Découvrez la liste des risques encourus si vous vous décidez à prendre une nouvelle voie professionnelle et nos meilleurs conseils pour les esquiver.

Trois apprenants heureux de leur cours en présentiel

Quels sont les risques d’un changement de métier ?

Si dans la grande majorité des projets, un changement de métier se passe pour le mieux, certaines personnes mal préparées peuvent vite être déçues. Et voir leurs idées tomber à l’eau. Pour éviter cette fin malheureuse, il est important d’avoir à l’esprit les dangers associés au processus de reconversion.

1er risque d’un changement de métier : l’erreur de carrière

C’est tout simplement s’apercevoir au bout du chemin que le métier visé ne convient pas

Vous avez démissionné, vous avez suivi une formation, vous avez candidaté à plusieurs offres, vous avez été retenu, vous avez signé votre contrat de travail et au cours de votre période d’essai vous vous apercevez que vous n’êtes pas fait pour ce nouveau métier.

Plusieurs raisons peuvent motiver ce désaveu. Par exemple : 

  • Les missions ne vous intéressent pas.
  • Le rythme du métier est trop difficile.
  • Vous vous attendiez à autre chose.
  • L’environnement de travail ne coïncide pas avec vos valeurs.
  • Vous aviez idéalisé ce nouvel emploi et la réalité est toute autre.

2ème risque d’un changement de métier : suivre la mauvaise formation

Les offres de formation continue pour changer de métier fleurissent un peu partout. Il peut parfois être difficile d’y voir clair dans ce qui vous est proposé. 

L’échec d’une reconversion professionnelle peut être dû à un mauvais choix de formation professionnelle :  

  • Soit parce que la formation est inadaptée au poste visé. Elle ne vous permet pas de prétendre aux offres d’emploi car vous n’avez pas dans votre CV les bonnes compétences techniques (hard skills) ou les bonnes compétences comportementales (soft skills).
  • Soit parce que l’organisme de formation n’est pas reconnu par l’État et l’entreprise ne peut pas juger de la qualité des enseignements proposés.

3ème risque d’un changement de métier : ne pas trouver d’emploi

L’échec d’un changement de carrière professionnel peut malheureusement s’illustrer par une absence d’opportunité professionnelle

Plusieurs raisons peuvent expliquer cet échec : 

  • Le métier ou le secteur d’activité choisi est totalement saturé. Les entreprises ne recrutent pas. Il y a plus de candidats qui cherchent que d’offres d’emploi disponibles sur le marché du travail.
  • Votre recherche d’emploi est trop restreinte (zone géographique, conditions d’emploi, niveau de poste).
  • Vous manquez d’expérience professionnelle.
  • Vous n’arrivez pas à convaincre les recruteurs de votre parcours, de votre projet ou de votre motivation ou de vos compétences.

4ème risque d’un changement de métier : être en difficulté financière

Changer de voie professionnelle coûte cher. Il faut absorber : 

  • Le prix de la formation.
  • Parfois, les frais de transport, de logement ou de nourriture.

Tout en continuant d’honorer ses charges habituelles. 

Or, un changement de métier peut nécessiter d’être totalement libre la journée pour suivre sa formation. Vous devrez alors démissionner de votre emploi actuel. En conséquence, être privé de salaires pendant de longs mois

Tous ces paramètres, absence de rémunération et frais de formation, pèsent lourd dans la balance et peuvent vous mettre en difficulté s’ils ne sont pas anticipés.

Bon à savoir : une reconversion professionnelle en CDI, c’est également possible.

Comment éviter les risques d’un changement de métier ?

Il n’y a pas de miracle ni de recette magique. Pour un changement de métier réussi, il faut l’anticiper ! Voici quelques règles d’or à suivre.

Je veux changer de métier : ne pas se précipiter

Un changement de cap se prépare minutieusement

Pour une reconversion professionnelle réussie, il est fondamental d’en prévoir les grandes lignes et de se poser des questions essentielles : 

  • Pourquoi un changement de métier ? Quelles sont les raisons profondes de ce choix ?
  • Dans quel métier se reconvertir ? Ai-je besoin d’un accompagnement pour trouver un métier de reconversion (bilan de compétences, coach, spécialiste de la reconversion…).
  • Comment atteindre mon but ? Quelles sont les formations possibles ? Quelles sont les compétences attendues des recruteurs ?
  • Comment financer la réorientation professionnelle (aides de l’État, CPF, fonds personnels) ?
  • Ai-je besoin de démissionner ? Puis-je conserver mon emploi ?
  • Le secteur d’activité que je vise recrute-t-il ? Les métiers sont-ils d’avenir ?

Bon à savoir : vos compétences transférables ont de l’importance dans un projet de reconversion. Pensez-y.

Opter pour des métiers qui ne connaissent pas de crise

Certaines reconversions sont plus prometteuses que d’autres car les métiers sont porteurs et particulièrement recherchés par les employeurs

Par exemple : 

D’autres métiers sont très recherchés car ils font partie des métiers les mieux payés

Faites les bons choix de carrière !

Sélectionner un organisme de formation sérieux

Se former pour se reconvertir est un passage quasi obligé si vous ne possédez pas toutes les qualités et compétences requises par les recruteurs. Le diplôme obtenu est votre précieux sésame. C’est lui qui vous permet d’attester des savoirs nécessaires pour exceller sur votre nouveau métier. 

Mais attention, tous les organismes de formation n’ont pas la même valeur aux yeux de ceux qui recrutent.

Veillez à toujours sélectionner une formation reconnue par l’État. C’est-à-dire qui présente toutes les garanties suffisantes, pédagogique, administrative et financière, pour que l’État témoigne de sa qualité et de son bon niveau.

Pour vous en assurer, vous devez vérifier que la certification délivrée à son issue est enregistrée au Répertoire National des Certifications professionnelles (RNCP).

Le répertoire est géré par France compétences (ex Pôle emploi).

Bon à savoir : Fitec propose de nombreuses formations certifiantes pour vous reconvertir vers les métiers du numérique. Si vous avez toujours rêvé de devenir product owner, consultant CRM ou développeur, c’est le moment de vous lancer.

Anticiper le coût d’un changement de métier

Pour ne pas vous retrouver en difficultés financières en plein projet de reconversion, vous devez anticiper son coût

  • Listez tous les frais que vous aurez à supporter : frais d’inscription, frais de scolarité, frais d’hébergement ou de transport… N’oubliez pas vos dépenses mensuelles classiques, factures d’énergie, remboursement d’emprunt, courses alimentaires…
  • Listez vos ressources financières (salaires, indemnités chômage…). 
  • Étudiez les différentes aides financières qui s’offrent à vous.

N’hésitez pas à faire appel à un professionnel de la reconversion professionnelle pour vous accompagner dans cette démarche : 

  • Vous pouvez solliciter l’aide d’un organisme de formation comme Fitec, d’un coach ou d’un conseiller, spécialistes de la réorientation.
  • Si vous êtes cadre, l’APEC vous propose d’être accompagné gratuitement par un conseiller en évolution professionnelle (CEP). 

Bon à savoir : dans le cadre du dispositif de reconversion ou la promotion par alternance (Pro-A) l’association Transitions Pro prend en charge tout ou une partie des frais de formation et ceux liés à celle-ci.

Changement de métier, ce qu’il faut retenir

Changer de métier et de vie peut être une aventure enrichissante et épanouissante à condition de bien s’y préparer ! 

La reconversion professionnelle comporte des risques : 

  • L’erreur de carrière.
  • La mauvaise formation.
  • La difficulté à trouver un emploi.
  • Les contraintes financières. 

Mais en anticipant ces défis, il est possible de les minimiser.

Prenez le temps de bien réfléchir à vos motivations, de choisir une formation reconnue, de vous renseigner sur les opportunités dans votre secteur ciblé et de planifier financièrement votre transition. 

Faire un bilan de compétence peut être très utile pour éclairer votre projet de vie.

Bonne reconversion !

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Quels métiers de l’IT sont les plus touchés par des difficultés de recrutement en 2024 ?

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Vous envisagez de vous tourner vers les secteurs du digital, de la tech ou de l’IT ? Vous avez bien raison. Les emplois sont porteurs et les embauches sont nombreuses. Côté employeurs, les difficultés de recrutement sont bien réelles. Face à une pénurie de profils formés, les recruteurs peinent à pourvoir tous les postes vacants. Quels métiers de l’IT sont les plus touchés ? Nos réponses dans cet article. * L’étude 2024 sur les rémunérations en France réalisée par le cabinet de recrutement Hays révèle les métiers qui sont les plus en tension.

Stagiaire à l'écoute lors d'une ouverture

Une difficulté de recrutement, ça veut dire quoi ?

C’est tout simplement une entreprise qui peine à trouver des candidats pour pourvoir ses postes vacants.

Pourquoi les entreprises ont-elles des difficultés de recrutement ?

Un besoin en main-d’œuvre supérieur à l’offre réelle sur le marché du travail explique des difficultés de recrutement pour les entreprises. 

On parle de métiers en tension ou pénuriques, dans lesquels l’offre et la demande sont déséquilibrés, en faveur des candidats. C’est particulièrement le cas dans les secteurs du numérique et de l’IT.

La digitalisation engagée des entreprises mobilise de nombreuses forces vives pour atteindre les objectifs escomptés. Pour réussir sa transformation digitale, chaque organisation doit disposer de talents formés et capables de maîtriser les enjeux de la révolution numérique. 

Dans ce contexte, la polyvalence n’est pas de mise. L’hyperspécialisation des compétences prime pour optimiser les process, les outils et répondre aux enjeux de concurrence. Revers de la médaille : les viviers de candidats formés s’épuisent rapidement. Les recruteurs peinent à dénicher le nombre de talents suffisants pour pourvoir les postes vacants. 

Mais bonne nouvelle ! Si vous avez pour projet d’entamer une reconversion professionnelle, de monter en compétences ou si vous démarrez vos études, c’est le moment de viser les métiers du Cloud, de la Cybersécurité et de la Data. Embauche garantie ! 

1er emploi en tension : consultant SAP

SAP (Systemanalyse Programmentwicklung) propose des logiciels ERP (Enterprise Resource Planning) très populaires et largement utilisés en entreprise. Ils permettent d’optimiser les processus métiers tant au niveau des coûts de fonctionnement que de leur productivité.

Le consultant SAP guide l’entreprise dans le choix du logiciel adapté puis s’assure de sa bonne mise en œuvre. Il est aussi amené à former les salariés de l’entreprise qui auront à le manier.

Ce professionnel peut travailler dans tous les types d’entreprises et dans tous les secteurs d’activité. 

Vous souhaitez vous diriger vers une carrière prometteuse de consultant SAP ? Fitec propose 3 formations complètes pour booster votre carrière :

Fort de la popularité de SAP, les difficultés de recrutement de consultants opérationnels sont criantes. Vous n’aurez aucun mal à trouver le job de vos rêves en suivant l’une des formations correspondantes.

2ème emploi en tension : développeur PHP

Le développeur web est le spécialiste des langages de programmation pour créer des solutions technologiques optimales. Il est aussi en mesure de résoudre des problèmes techniques pour offrir la meilleure expérience aux utilisateurs des interfaces, sites, applications qu’il a créé.

Plusieurs langages de programmation sont utilisés : HTML, CSS, JavaScript, PHP, Java, C#, Python, C++, SQL…

Le travail de développeur web demande une grande curiosité et une veille permanente pour rester à la pointe des nouvelles technologies. L’obsolescence des compétences peut être rapide.

Les développeurs, et notamment ceux spécialisés en PHP, sont fortement demandés sur le marché du travail. Les tensions et les difficultés de recrutement se font largement ressentir.

Le risque de ne pas trouver un travail est peu élevé si vous décidez de vous lancer dans une carrière de développeur. Encore faut-il suivre la bonne formation qui vous donnera toutes les compétences nécessaires pour séduire les recruteurs.

Fitec propose une formation de développeur Web. Reconnue par l’État, son programme complet vous assure de séduire les entreprises en quête d’un développeur PHP.

3ème emploi en tension : product owner

Le product owner (PO) a un rôle clé en entreprise. Il est chargé d’accompagner le développement d’un produit digital pour qu’il réponde à tous les besoins des utilisateurs. En d’autres termes, le PO veille au bon déroulement des projets digitaux de son organisation pour l’accompagner dans sa transformation digitale.

Véritable chef d’orchestre, il fait le lien entre les équipes de développement, les équipes produits, les équipes marketing, les équipes commerciales et le client final. 

Le PO est un talent particulièrement prisé par les employeurs. Les offres d’emploi sont nombreuses et les candidats formés ne sont pas en nombre suffisant pour couvrir toutes les demandes. Les difficultés de recrutement sont quotidiennes pour les employeurs.

L’upskilling fait partie des solutions efficaces pour contourner la pénurie de main-d’œuvre. En d’autres termes, les entreprises proposent directement des formations de product owner aux talents les plus motivés.

Vous cherchez des conseils pour réussir vos entretiens pour devenir product owner ? Une bonne préparation, une solide formation et une grande motivation vous aideront à séduire les recruteurs pour décrocher le job de vos rêves.

4ème emploi pénurique : responsable de la sécurité des systèmes d’information (RSSI)

Après quelques années d’expérience en tant qu’analyste cybersécurité, l’emploi de responsable de la sécurité des systèmes d’information (RSSI) vous est ouvert. Et il en manque ! Les entreprises éprouvent de réelles difficultés à recruter ces professionnels de la sécurité informatique.

La cyberattaque menace tous les types de structure. Grands groupes, TPE, PME ou start-up. Le secteur privé, mais aussi les administrations publiques : l’État, les collectivités territoriales, les ministères, les mairies, l’hôpital…

Vous n’aurez donc aucun mal à dénicher un emploi en tant que RSSI, en pleine reconversion professionnelle ou pour monter en compétences.

Pour démarrer, la formation analyste cybersécurité proposée par Fitec, d’une durée de 3 mois, vous délivre les savoir-faire indispensables et une certification reconnue pour prétendre à des postes d’analystes cybersécurité.

5ème emploi pénurique : développeur fullstack

Ce professionnel de l’informatique est un maillon essentiel de la digitalisation des processus en entreprise. Il est capable de concevoir, développer et maintenir des applications web ou logiciels. 

Les grandes forces du développeur fullstack sont les suivantes : 

  • Il œuvre aussi bien du côté du front-end que du côté back-end. 
  • Il maîtrise un large éventail de langages de programmation et de technologies.
  • Il est polyvalent. 

Les offres d’emploi sont nombreuses et les candidats à l’embauche en nombre inférieur. Pour attirer, les entreprises n’hésitent pas à proposer des conditions de travail favorables : 

  • Flexibilité dans l’organisation du travail.
  • Salaires élevés.
  • Formation continue.
  • Perspective d’évolution.

Si une carrière dans le développement vous intéresse, Fitec propose une formation développeur fullstack intensive de 3 mois, suivie de 12 mois en alternance. Renseignez-vous !

6ème emploi pénurique : data analyst

Les données sont omniprésentes. Le data analyst a pour mission d’analyser les data récoltées afin de permettre aux dirigeants de l’entreprise de prendre des décisions éclairées. C’est dire son importance. 

Les difficultés de recrutement sont nombreuses, peu de candidats se présentent face aux recruteurs. Les profils formés sont en nombre insuffisant. 

Vous avez envie de participer à la stratégie de votre entreprise ? Le monde de la data vous intéresse ? Une solide formation data analyst vous livrera les hard skills et les soft skills nécessaires pour postuler. Une reconversion data analyst est aussi parfaitement envisageable.  

Le data analyst fait partie des métiers les mieux payés du digital. Les salaires proposés sont élevés.

Difficultés de recrutement, ce qu’il faut retenir

Côté candidats, l’avenir est radieux pour les métiers du Cloud, de la Data et de la Cybersécurité. En France, les recrutements, les conditions de travail et les salaires associés suivent une courbe ascendante.

Côté employeurs, les difficultés de recrutement risquent de s’amonceler. Sauf à diversifier les canaux de sourcing. Par exemple, adopter une stratégie d’upskilling, qui consiste à former les salariés prometteurs, déjà présents dans l’entreprise.

Si vous cherchez un emploi avec des perspectives de recrutement quasiment acquises, certains métiers de l’IT et du numérique sont faits pour vous : 

  1. Consultant SAP.
  2. Développeur PHP.
  3. PO.
  4. RSSI.
  5. Développeur fullstack.
  6. Data analyst.

Bon recrutement !

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Comment former les collaborateurs de l’entreprise à la sécurité informatique ?

Date :

La sécurité informatique est une priorité pour toutes les entreprises. La sensibilisation de l’ensemble des salariés d’une même organisation est fondamentale pour prévenir tout risque de cyberattaque. Pour assurer le même niveau de connaissance, la formation continue est votre meilleure alliée. Elle vous permet aussi d’améliorer l’employabilité des talents et la montée en compétences de ceux qui manifestent un besoin de mobilité interne. On parle d’upskilling. Comment former les collaborateurs de l’entreprise à la sécurité informatique ? Découvrez le catalogue de formations disponibles.

Formatrice en train de donner son cours_

La sécurité informatique, c’est quoi ?

La sécurité informatique, c’est l’ensemble des pratiques, des technologies et des processus mis en place pour protéger les systèmes informatiques, les réseaux, les programmes et les données contre les cyberattaques.

Elle concerne toutes les entreprises du secteur public. Mais aussi les administrations publiques. 

Elle est confiée à des experts du sujet. Mais elle est aussi l’affaire de tous pour protéger les données sensibles d’une organisation.

La sécurité informatique est un domaine en constante évolution. Elle doit s’adapter en permanence aux évolutions technologiques. D’où l’importance de former en continu les professionnels avertis et les profanes pour protéger les systèmes d’informations des employeurs. 

Bon à savoir : on parle de sécurité informatique mais aussi de cybersécurité. Ces termes désignent la même chose.

À qui confier la formation à la sécurité informatique des salariés ?

Déléguer la transmission de savoir aux collaborateurs de votre organisation vous permet de vous faire gagner du temps et de vous concentrer sur votre activité principale, cœur de métier.

De nombreuses structures proposent des formations spécialisées aux salariés des entreprises.

En matière de formation cybersécurité, il est préférable de confier celles-ci aux organismes de formation spécialisés en informatique, IT et digital

Fitec est un organisme reconnu en mesure de vous proposer des formations en informatique, IT ou digital.

Quelles formations à la sécurité informatique choisir ?

La formation continue permet de transmettre un socle de savoirs indispensables à vos salariés pour promouvoir la sécurité de votre système informatique.

Fort des enjeux liés à la sécurité informatique, Fitec a développé une offre pour répondre aux besoins actuels des employeurs.

Certification DPO de PECB ou de la CNIL

La Formation à la Certification DPO de PECB ou de la CNIL s’adresse aux délégués à la protection des données (DPD).

Elle leur permet de maîtriser pleinement la protection des données personnelles et la conformité avec le RGPD.

À l’issue du programme, votre salarié sera en mesure de : 

  • Comprendre les concepts du RGPD et d’interpréter ses exigences.
  • Comprendre le contenu RGPD et la corrélation entre et l’ISO 27701 et 29134
  • Acquérir la compétence nécessaire pour remplir le rôle et les tâches quotidiennes du DPO.
  • Développer la capacité à informer, conseiller et contrôler le respect du RGPD.
  • Coopérer avec la CNIL.

Formation à la Directive NIS 2 – certification PECB

La Formation à la Directive NIS 2 – certification PECB s’adresse à un public varié : 

  • Chefs de projet MOE/MOA.
  • Consultants.
  • Architectes techniques.
  • analyste cybersécurité/RSSI/CISO.
  • Auditeurs de sécurité.
  • Juristes réglementaires IT.

Elle livre tous les fondamentaux liés aux exigences de la cybersécurité.

À l’issue du programme, votre salarié sera en mesure de : 

  • Expliquer les concepts fondamentaux de la directive NIS 2 et ses exigences.
  • Acquérir une compréhension approfondie des principes, stratégies et méthodologies nécessaires.
  • Apprendre à interpréter et à mettre en œuvre les exigences de la directive NIS.
  • Initier et planifier la mise en œuvre des exigences de la directive NIS 2.
  • Acquérir les connaissances nécessaires pour soutenir un organisme à planifier, mettre en œuvre, gérer, surveiller et maintenir efficacement un programme de cybersécurité conformément à la directive NIS 2.

Formation EBIOS Risk Manager

La Formation EBIOS Risk Manager s’adresse aux : 

  • Chefs de projet MOE/MOA.
  • Consultants.
  • Architectes techniques.
  • RSSI/CISO.
  • Personnes qui participent à la mise en œuvre d’un SMSI.

Elle permet d’évaluer, d’analyser et de gérer concrètement les risques cyber qui pèsent sur l’entreprise.

À l’issue du programme, votre salarié sera en mesure de : 

  • Comprendre les concepts et les principes fondamentaux relatifs à la gestion du risque.
  • Comprendre les étapes de la méthode EBIOS afin de poursuivre l’achèvement des études.
  • Comprendre et expliquer les résultats d’une étude EBIOS et ses objectifs clés.
  • Acquérir les compétences nécessaires afin de mener une étude EBIOS.
  • Acquérir les compétences nécessaires pour gérer les risques de sécurité des SI appartenant à un organisme.
  • Acquérir les compétences pour pratiquer la gestion des risques avec la méthode EBIOS RISK MANAGER.
  • Développer les compétences nécessaires pour analyser et communiquer les résultats d’une étude EBIOS.

Formation ISO 22301 Lead Implementer – certification PECB

La Formation ISO 22301 Lead Implementer – certification PECB s’adresse aux : 

  • Managers.
  • Responsables de direction opérationnelle.
  • Responsables chargés de la Continuité d’Activité (RPCA).
  • Gestionnaire de risques.
  • Chefs de projets MOE/MOA.
  • Consultants.

Elle permet aux élèves de développer, implémenter et gérer un système de management dans leur entreprise, conformément à la norme ISO 22301 (SMCA).

À l’issue du programme, votre salarié sera en mesure de : 

  • Expliquer les concepts et principes fondamentaux d’un système de management de la continuité d’activité.
  • Interpréter les exigences d’ISO 22301 pour un SMCA du point de vue d’un responsable de la mise en œuvre.
  • Initier et planifier la mise en œuvre d’un SMCA basé sur ISO 22301.
  • Soutenir un organisme dans le fonctionnement, le maintien et l’amélioration continue d’un SMCA.
  • Préparer un organisme à un audit de certification par une tierce partie.

Formation ISO 27001 Lead Auditor – certification PECB

La Formation ISO 27001 Lead Auditor – certification PECB s’adresse aux : 

  • Auditeurs de sécurité.
  • RSSI/CISO.
  • DSI.
  • Chefs de projet MOE/MOA.
  • Consultants.
  • Architectes techniques.
  • Personnes qui participent au maintien de la conformité aux exigences du SMSI.

Elle permet aux élèves de réaliser des audits efficaces des systèmes de gestion de la sécurité de l’information (SGSI). Tout en respectant les exigences de la norme ISO 27001.

À l’issue du programme, votre salarié sera en mesure de : 

  • Comprendre le fonctionnement d’un SMSI.
  • Expliquer la corrélation entre la norme ISO/CEI 27001 et 27002.
  • Comprendre le rôle d’un auditeur : planifier, diriger et assurer le suivi d’un audit SMSI avec l’ISO 19011.
  • Diriger un audit et une équipe d’audit.
  • Interpréter les exigences d’ISO/CEI 27001 dans le contexte d’un audit du SMSI.

Formation ISO 27001 Lead Implementer – certification PECB

La Formation ISO 27001 Lead Implementer – certification PECB s’adresse aux : 

  • RSSI/CISO.
  • DSI.
  • Chefs de projet MOE/MOA.
  • Consultants. 
  • Architectes techniques. 
  • Personne qui participe à la mise en place de la conformité aux exigences du SMSI.

Ses objectifs pédagogiques sont nombreux : 

  • Mettre en œuvre et gérer efficacement un SMSI.
  • Acquérir une compréhension des concepts, approches et méthodes pour la mise en œuvre d’un SMSI.
  • Apprécier les risques et élaborer une déclaration d’applicabilité.
  • Apprendre à interpréter et à mettre en œuvre les exigences de la norme ISO 27001.
  • Faire des propositions de plans d’actions.
  • Comprendre la corrélation entre la norme ISO/CEI 27001 et ISO/CEI 27002.
  • Interpréter les exigences de la norme ISO/CEI 27001 dans un contexte spécifique d’organisation.

Bon à savoir : chaque formation du catalogue Fitec peut être personnalisée au plus près de vos besoins réels et du niveau de connaissance de vos collaborateurs. Renseignez-vous !

Quelles sont les modalités pédagogiques possibles ?

Plusieurs modalités de formation sont disponibles sur le marché : 

  • E-learning.
  • Présentiel.
  • Blended learning : apprentissage mixte qui mêle distanciel et présentiel.
  • Au sein de l’entreprise.
  • Dans les locaux de l’organisme de formation.

Le nombre d’heures de formation doit correspondre avec le niveau d’expertise que vous souhaitez atteindre. Mais aussi avec le socle de connaissances initiales des élèves.

Adaptez votre offre de formation à la culture de votre entreprise.

Faut-il privilégier des formations à la sécurité informatique certifiantes ?

Oui, les certifications délivrées aux collaborateurs qui suivent des formations techniques permettent de faire reconnaître une expertise aux tiers.

La certification est un précieux sésame qui a une valeur réelle sur le marché du travail. Elle atteste de compétences et de connaissances sur le sujet.

Former ses collaborateurs à la sécurité informatique, combien ça coûte ?

Plusieurs schémas de financement sont envisageables si vous souhaitez former les collaborateurs de l’entreprise à la sécurité informatique :  

  • Le financement personnel de l’entreprise. Par exemple dans le cadre du plan de développement des compétences.
  • Le Fond National de l’Emploi (FNE) si l’entreprise est en difficulté et que la formation lui permet de rebondir.
  • L’OPCO de votre entreprise

Le salarié qui souhaite individuellement être formé peut aussi mobiliser son CPF ou se lancer dans un projet de reconversion dans la cybersécurité avec le dispositif Reconversion et Promotion par l’Alternance.

Faites des devis et interrogez les organismes de formation que vous avez sélectionnés. Ils vous proposeront des modalités de financement sur-mesure.

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Quels sont les métiers les plus payés en 2024 ?

Date :

Vous ciblez un emploi avec une forte rémunération pour votre carrière ? Plusieurs métiers ont le vent en poupe en 2024. Certains affichent des salaires très attractifs dès le début de carrière. En France, quels sont les métiers les plus payés en 2024 ? Dans quels secteurs d’activité avez-vous le plus de chance d’être mieux rémunéré ? Découvrez toutes nos réponses pour vous aider à faire les bons choix. * Toutes les rémunérations affichées dans cet article sont exprimées en milliers d’euros (k€). Elles correspondent au salaire moyen brut annuel fixe en région parisienne. Elles proviennent de l’étude des rémunérations 2024 de PageGroup.

Stagiaire à l'écoute

Les métiers les mieux payés du digital

Le digital est un secteur qui profite de la transformation numérique des entreprises. Celles-ci ont besoin de recruter des talents pour les accompagner sur le chemin du changement. Les profils recherchés sont hyperspécialisés et maîtrisent des outils digitaux spécifiques. Pour les attirer et gagner la course à la compétitivité, les employeurs proposent des salaires élevés. Y compris en début de carrière. Le digital propose des métiers parmi les mieux payés. Vous ne regretterez pas ce choix de carrière.

1. Product owner

Le product owner (PO) est un métier clé en entreprise. Il accompagne le développement d’un produit digital tout en s’assurant qu’il réponde aux besoins des utilisateurs. Son rôle de chef d’orchestre du produit en fait un élément incontournable.

Une bonne formation de product owner vous ouvrira les portes de ce métier aux missions variées. Ainsi que des salaires élevés :

Salaire jusqu’à 2 ans d’ancienneté Salaire entre 2 et 5 ans d’ancienneté Salaire entre 5 et 15 ans d’ancienneté
38 à 45 000 euros 45 à 55 000 euros 50 à 70 000 euros

Pour réussir votre entretien d’embauche de product owner et séduire les recruteurs, découvrez nos meilleurs conseils.

2. Data/web analyst

Le data analyst, ou web analyst, est un profil très prisé en entreprise. Ce professionnel de la data a pour mission de l’analyser pour permettre aux instances dirigeantes de prendre des décisions éclairées. Et d’orienter la stratégie de l’entreprise pour qu’elle soit la meilleure possible. Dans un monde où la donnée est omniprésente, son éclairage est plus que fondamental. 

Une solide formation data analyst vous livrera les hard skills et les soft skills nécessaires pour prétendre à ce type de poste.  

Côté rémunération, ce métier fait partie des mieux payés du digital

Salaire jusqu’à 2 ans d’ancienneté Salaire entre 2 et 5 ans d’ancienneté Salaire entre 5 et 15 ans d’ancienneté
38 à 45 000 euros 45 à 55 000 euros 50 à 75 000 euros

Une reconversion en data analyst est une excellente idée si vous portez de l’intérêt aux nouvelles technologies, au monde de la data et que vous avez une passion pour les chiffres et les statistiques.

3. Traffic manager / Chargé d’acquisition / Growth

Traffic manager, chargé d’acquisition et growth hacker, ces 3 métiers du marketing digital ne connaissent pas de crise côté candidat à l’embauche. Les entreprises s’arrachent ces profils qui leur permettent d’augmenter le nombre de visiteurs sur leur site Internet.

Pour attirer les talents, elles proposent des rémunérations élevées sur les offres d’emploi.

Salaire jusqu’à 2 ans d’ancienneté Salaire entre 2 et 5 ans d’ancienneté Salaire entre 5 et 15 ans d’ancienneté
35 à 42 000 euros 40 à 55 000 euros 45 à 65 000 euros

4. Responsable affiliation/partenariats

Toujours dans la course à la visibilité sur Internet, le responsable affiliation et partenariats est chargé de mettre en place des partenariats avec d’autres sites Internet pour générer du trafic sur le sien.

Son rôle est primordial pour faire grossir l’audience de la marque et se démarquer de la concurrence. 

Côté salaire, le métier fait partie des mieux payés  :

Salaire jusqu’à 2 ans d’ancienneté Salaire entre 2 et 5 ans d’ancienneté Salaire entre 5 et 15 ans d’ancienneté
35 à 42 000 euros 40 à 55 000 euros 50 à 65 000 euros

Les annonces d’emploi sont nombreuses. Un talent doté d’une solide formation n’aura aucun problème à trouver le job de ses rêves.

5. Chef de projet web/digital

Le chef de projet web, ou digital, supervise la mise en place et le déploiement d’un outil, d’un produit ou d’un service au sein d’une entreprise. Il assure le lien entre les équipes techniques qui conçoivent et les équipes chargées de commercialiser ou d’utiliser le projet. 

Le chef de projet peut mener différentes missions à terme. Par exemple, le chef de projet salesforce, une plateforme CRM, assure la mise en œuvre de cet outil au sein de l’organisation.

Il fait partie des métiers les plus payés du secteur digital :

Salaire jusqu’à 2 ans d’ancienneté Salaire entre 2 et 5 ans d’ancienneté Salaire entre 5 et 15 ans d’ancienneté
35 à 40 000 euros 38 à 50 000 euros 45 à 60 000 euros

Bon à savoir : une formation de consultant fonctionnel salesforce vous permettra de guider les utilisateurs de salesforce pour répondre au mieux à leurs besoins spécifiques.

Les métiers les mieux payés de la tech et de l’IT

L’accélération de la transformation digitale des entreprises en France a créé une demande croissante de profils dotés de compétences tech et IT. Les talents spécialisés dans SAP, le cloud, la sécurisation des systèmes d’information (SI), la gestion de la data, la cybersécurité, ou les enjeux DevOps sont particulièrement recherchés. En contrepartie, les salaires proposés dans ces secteurs sont très attractifs.

6. Architecte data

L’architecte data a pour mission de construire une architecture de gestion de données efficace. Il élabore des outils capables de collecter et de stocker la data. Tout en respectant le RGPD.

La gestion du Big data est incontournable et ses enjeux sont colossaux pour les entreprises. L’architecte data est un maillon indispensable. Son salaire est à la mesure de son rôle : élevé.

Salaire jusqu’à 2 ans d’ancienneté Salaire entre 2 et 5 ans d’ancienneté Salaire entre 5 et 10 ans d’ancienneté Salaire ancienneté supérieure à 10 ans
75 à 85 k € 85 à 95 k € 95 à 110 k € 110 à 150 k €

Le métier de data architect n’est pas un emploi de début de carrière. Il nécessite une expérience professionnelle préalable de quelques années. Le data architect est l’évolution professionnelle qui profite aux data engineer.

7. Architecte sécurité et cybersécurité

Après plusieurs années comme analyste cybersécurité, vous pouvez vous lancer dans une carrière d’architecte sécurité et cybersécurité. Ce professionnel de la sécurité informatique doit construire des plans d’action efficaces pour lutter contre les risques de cybersécurité qui menacent son système informatique.

Ce métier connaît une crise majeure du recrutement côté employeur. La pénurie de profils disponibles sur le marché oblige les entreprises à chasser pour recruter. De ce fait, les opportunités proposées aux candidats se multiplient. Et les rémunérations associées sont à la hausse.

Salaire jusqu’à 2 ans d’ancienneté Salaire entre 2 et 5 ans d’ancienneté Salaire entre 5 et 10 ans d’ancienneté Salaire ancienneté supérieure à 10 ans
60 à 65 k € 65 à 75 k € 75 à 90 k € > 90 k €

Lancez-vous et suivez l’une des formations en cybersécurité.

8. Architecte cloud

Chargé de créer et d’intégrer l’infrastructure Cloud au SI de l’entreprise, l’architecte cloud est un profil indispensable pour gérer l’explosion de la donnée. Il maîtrise tous les enjeux de la transition numérique, mais aussi du move to cloud.

Il fait partie des métiers les plus payés des secteurs de l’IT et de la tech :

Salaire jusqu’à 2 ans d’ancienneté Salaire entre 2 et 5 ans d’ancienneté Salaire entre 5 et 10 ans d’ancienneté Salaire ancienneté supérieure à 10 ans
60 à 70 k € 70 à 80 k € 80 à 110 k € > 110 k €

9. Ingénieur DevOps

L’ingénieur DevOps est un technicien informatique généraliste. Il maîtrise la programmation, comme le développeur, et les opérations, comme l’administrateur de l’infrastructure informatique. Autrement dit, il gère toute la chaîne de fabrication et de déploiement d’un logiciel ou d’un site : de son développement, jusqu’à sa maintenance et sa mise à jour.

La formation Administrateur DevOps proposée par Fitec, vous permet de prétendre à un poste d’ingénieur DevOps.

Ce profil joue un rôle crucial en entreprise et assure son bon développement technique. Sa rémunération est conséquente :

Salaire jusqu’à 2 ans d’ancienneté Salaire entre 2 et 5 ans d’ancienneté Salaire entre 5 et 10 ans d’ancienneté Salaire ancienneté supérieure à 10 ans
45 à 55 k € 55 à 70 k € 70 à 85 k € > 85 k €

10. Ingénieur cloud

De nombreuses data sont stockées dans des data center. Des solutions de stockage externe à l’entreprise. L’ingénieur cloud est chargé de la migration de celles-ci. Tant sur la partie technique et la maîtrise des outils de virtualisation que sur la partie commerciale de la migration en sélectionnant des prestataires de confiance.

Les salaires sont attractifs :

Salaire jusqu’à 2 ans d’ancienneté Salaire entre 2 et 5 ans d’ancienneté Salaire entre 5 et 10 ans d’ancienneté Salaire ancienneté supérieure à 10 ans
45 à 55 k € 55 à 70 k € 70 à 85 k € > 85 k €

Les métiers les mieux payés, ce qu’il faut retenir

En France, si vous cherchez un emploi qui vous garantit un niveau de rémunération élevé, les secteurs du digital, de la tech et de l’IT sauront répondre à vos attentes.

Voici une liste des 10 métiers les mieux payés en 2024 : 

  1. PO
  2. Data analyst.
  3. Traffic manager, chargé d’acquisition et growth hacker.
  4. Responsable affiliation et partenariats.
  5. Chef de projet digital.
  6. Architecte data.
  7. Architecte sécurité et cybersécurité.
  8. Architecte cloud.
  9. Ingénieur DevOps.
  10. Ingénieur cloud.

Cerise sur le gâteau, tous ces emplois du numérique et de l’IT sont porteurs. Ils ne connaissent aucune crise du recrutement ! Vous avez de grandes chances de trouver le job de vos rêves.

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Comment se reconvertir dans la cybersécurité ?

Date :

Vous êtes conscient des enjeux qui se jouent sur la protection des données ? Vous avez envie d’accompagner les entreprises dans la sécurisation de leur système d’information ? La cybermenace est bien réelle et les risques ne faiblissent pas. La cybersécurité est définie par l’ANSSI (l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information) comme l’état d’un système d’information (SI) qui résiste aux cyberattaques et aux pannes. Elle est assurée par des professionnels formés. Le secteur est porteur et les entreprises recrutent à tour de bras pour se prémunir d’attaques bien réelles. Comment se reconvertir dans la cybersécurité ? Découvrez nos 5 meilleurs conseils.

Collaborateur qui fait une remarque à sa collègue sur son ordinateur

1. Reconversion dans la cybersécurité : s’assurer de ses réelles motivations

Une reconversion professionnelle en CDI, ou en tant que demandeur d’emploi, prend du temps. Entre 6 et 36 mois selon la durée de la formation que vous allez suivre. Pour être couronnée de succès, la préparation de votre projet professionnel est fondamentale.

Première étape, vous assurer que c’est vraiment d’une reconversion professionnelle dont vous avez besoin. Parfois, un simple changement d’employeur peut suffire à donner un nouvel élan à votre carrière.

Plusieurs raisons peuvent motiver une reconversion : 

  • Une quête de sens au travail. Votre travail actuel ne correspond plus à vos valeurs.
  • La recherche de meilleures conditions de travail : souplesse dans l’organisation, télétravail, management horizontal…
  • La volonté d’être mieux payé. Le salaire de votre profession ne vous convient plus.
  • L’accomplissement d’un rêve d’enfant.
  • Ect.

Après avoir identifié vos réelles motivations à vous reconvertir, vous devez vous assurer que la cybersécurité est faite pour vous ! Selon les critères que vous avez préalablement identifiés.

La cybersécurité est un secteur innovant et en croissance. Autrement dit, les évolutions sont rapides et l’adaptabilité est essentielle pour s’épanouir sur l’un des postes proposés. Tout comme la curiosité indispensable pour s’enquérir des nouveautés technologiques et des nouvelles cybermenaces qui sont liées.

En contrepartie, les rémunérations sont attractives. Les talents formés et opérationnels sur les métiers de la cybersécurité ne sont pas nombreux. Bien que l’offre de formations de qualité disponible sur le marché soit de plus en plus importante. Pour un jeune reconverti dans la cybersécurité, les fourchettes de salaires* sont les suivantes : 

  • Ingénieur cybersécurité : entre 40 et 50 000 euros.
  • Chef de projet cybersécurité : entre 40 et 50 000 euros.
  • Architecte sécurité et cybersécurité : entre 60 et 65 000 euros.

Côté recherche d’emploi, les annonces sont nombreuses. Les cabinets de recrutement* constatent une demande croissante des compétences liées au cloud, à la gestion de la data, à la cybersécurité, à SAP et aux enjeux DevOps. Pour preuve, l’ingénieur cybersécurité fait partie du Top 5 des profils les plus recherchés ! 

Autrement dit, la cybersécurité ne connaît pas de crise et vous n’aurez aucune difficulté à trouver un poste si vos compétences correspondent aux attentes des entreprises.

* Source : Étude de rémunérations 2024, Michael Page.

2. Identifier le métier de la cybersécurité qui vous plaît pour assurer sa reconversion

La cybersécurité s’illustre par une diversité des métiers. Mais aussi par une diversité d’entreprises où les exercer : TPE, PME, grands groupes, start-up… Tout comme les organismes gouvernementaux.

Le secteur est en constante évolution. De nouvelles spécialités apparaissent également au gré des avancées technologiques et des méthodes déployées par les cybercriminels.

La répartition des métiers est organisée autour de 5 grandes familles dessinées par l’Anssi :

  • Conception et maintien d’un SI sécurisé. 
  • Conseil, services et recherche. 
  • Gestion et pilotage des projets de sécurité. 
  • Gestion des incidents et des crises. 
  • Métiers connexes.

Voici quelques exemples : 

  • L’analyste en sécurité des données. Il protège les données sensibles de l’entreprise en surveillant, analysant et sécurisant les informations.
  • L’analyste cybersécurité. Il est chargé de surveiller, d’analyser et de répondre aux menaces de sécurité informatique.
  • L’expert en sécurité des réseaux. Il conçoit, met en œuvre et maintient en bon état de fonctionnement les infrastructures de sécurité des réseaux.
  • L’ingénieur en sécurité informatique. Il conçoit, met en œuvre et maintient les systèmes de sécurité informatique de l’entreprise.
  • Le consultant en cybersécurité. Il livre des conseils et des recommandations aux entreprises sur les meilleures pratiques en matière de sécurité informatique.
  • L’architecte de sécurité des systèmes. Il conçoit l’architecture des systèmes de sécurité pour assurer une protection efficace des données et des infrastructures.
  • L’analyste en cyber renseignement. Il collecte, analyse et interprète les données pour identifier et lutter contre les menaces potentielles à la sécurité informatique.
  • Le pentester (ou expert en tests de pénétration). Il réalise des tests d’intrusion pour identifier les vulnérabilités des systèmes et des réseaux.

Selon vos affinités, vos appétences, vos passions, il y a certainement un poste fait pour vous dans la cybersécurité.

3. Evaluer votre besoin en formation

Pour vous donner les meilleures chances de réussir votre reconversion, vous devez au maximum répondre aux besoins concrets des entreprises. Pour chaque poste, des compétences sont associées. 

Pour les connaître, vous avez plusieurs options : 

  • Lire les fiches métiers.
  • Décrypter les offres d’emploi publiées.

Vous aurez ainsi un bon aperçu des compétences techniques (hard skills) et des compétences comportementales (soft skills) nécessaires pour accomplir toutes les missions confiées. 

À vous ensuite d’identifier les savoirs que vous maîtrisez déjà, ceux à perfectionner et ceux à acquérir. Si vous n’êtes pas à l’aise avec l’exercice, un bilan de compétences peut vous y aider. Vous pourrez le financer avec votre CPF.

Vous saurez ainsi précisément quels types de formation il vous faut pour vous former dans les meilleures conditions et taper dans l’œil des recruteurs.

Bon à savoir : certaines compétences sont transférables d’une expérience à une autre. Pensez-y.

4. Chercher la bonne formation pour réussir sa reconversion dans la cybersécurité

Dans le cadre d’une reconversion professionnelle, vous pouvez accéder à des formations en cybersécurité.  

Leur objectif est de vous enseigner les compétences clés pour booster votre employabilité auprès des entreprises. À l’issue du cursus, à partir de méthodes, bonnes pratiques et outils spécifiques, vous serez capable de : 

  • Protéger les ressources.
  • Concevoir la sécurité. 
  • Assurer la disponibilité des services.
  • Assurer la confidentialité des informations et l’intégrité du système d’information.

Par exemple, la formation analyste cybersécurité proposée par Fitec vous délivre les savoir-faire indispensables et une certification reconnue pour prétendre à des postes d’analystes cybersécurité, de consultants en sécurité informatique, d’ingénieurs en sécurité réseau ou d’architectes de sécurité. 

Elle dure 3 mois.

La formation délivre plusieurs certifications reconnues : 

  • Airbus Stormshield CSNA. 
  • EBIOS.
  • L’attestation Bloc de compétences : RNCP37172BC04 – Piloter un projet de gestion de données massives concourant à la certification RNCP Data Engineer de niveau 7 (bac+5).

Bon à savoir : la formation choisie doit toujours être reconnue par l’État. C’est un préalable fondamental pour sécuriser votre recrutement. La certification délivrée par l’organisme de formation est le précieux sésame pour garantir votre embauche.

5. Envoyer sa candidature pour concrétiser sa reconversion dans la cybersécurité

Le parcours de reconversion s’achève par la recherche d’un emploi. Vous trouverez de nombreuses annonces sur les jobboards, sur le site carrière des entreprises, mais aussi à l’occasion des job dating proposés par votre organisme de formation. 

N’oubliez pas de mettre à jour votre CV de vos dernières compétences acquises et de votre formation.

Préparez un petit discours pour justifier votre changement de carrière en entretien d’embauche.

Bon à savoir : n’hésitez pas à solliciter le réseau pro de votre organisme de formation pour dénicher votre prochain poste.

Reconversion cybersécurité, ce qu’il faut retenir

Une bonne préparation est la clé d’une reconversion professionnelle réussie dans le secteur de la cybersécurité. Changer de métier prend du temps.

Faites le point sur ce qui vous motive.

Renseignez-vous sur les différents métiers existants dans le domaine de la cybersécurité.

Formez-vous pour acquérir les compétences qui vous manquent. 

Refaites votre CV et envoyez votre candidature aux entreprises qui recrutent. La cybersécurité propose des métiers porteurs

Bonne chance !

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4 étapes à suivre pour une reconversion dans l’IT réussie

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Développeur, data analyst, administrateur SI, analyste en cybersécurité… Les métiers de l’IT et du numérique vous intéressent ? Ils sont nombreux et ont le vent en poupe. Changer de secteur d’activité, c’est possible. Y compris si vous êtes sur le marché de l’emploi depuis quelques années. Les portes de la reconversion IT vous sont ouvertes dès lors que vous suivez quelques étapes fondamentales pour préparer votre projet. Lesquelles ? Découvrez pas-à-pas la marche à suivre.

formateur qui donne une bonne remarque (Evocime)

Etape 1 reconversion IT : faire le point sur son projet professionnel

On ne se reconvertit pas du jour au lendemain. La clé du succès réside dans une bonne préparation.

Quels sont les métiers de l’IT ?

L’IT offre des métiers variés. L’Insee en dénombre plus de 800, répartis dans 7 familles (Insee, L’économie et la société à l’ère du numérique, 2019)

  1. Support informatique et systèmes d’information.
  2. Programmation et développement.
  3. Management et stratégie numériques.
  4. Communication numérique.
  5. Expertise et conseil numériques.
  6. Télécommunications.
  7. Analyse de données et intelligence artificielle.

Voici quelques exemples de métiers particulièrement prisés par les employeurs : 

Ceux-ci ont tous pour point commun d’évoluer dans un univers mouvant, en constante évolution, et où les avancées technologiques sont prépondérantes. 

Au-delà du panel important d’emplois dans le secteur de l’informatique, ceux-ci ne connaissent pas de crise. Ils ont le vent en poupe et les entreprises recrutent à tour de bras pour s’adapter aux nouvelles exigences technologiques. Certains métiers sont même en tension, notamment dans le domaine du cloud, de la cybersécurité ou de SAP. Ils offrent alors aux candidats des conditions de travail très favorables. On parle de métiers porteurs.

Les métiers de l’IT sont-ils faits pour vous ?

Une reconversion IT ne peut être réussie que si vous vous épanouissez dans le métier choisi. Si l’offre est nombreuse, reste à cibler l’emploi qui est fait pour vous.

Pour le savoir, votre réflexion doit cheminer par plusieurs étapes : 

  1. Pourquoi une reconversion professionnelle s’envisage-t-elle ? Identifiez les raisons qui vous poussent à vous réorienter
    • Quête de sens au travail.
    • Recherche d’un meilleur équilibre vie professionnelle vie personnelle.
    • Recherche d’un meilleur salaire.
    • Travailler dans de meilleures conditions. Par exemple, avoir plus de télétravail.
    • Changer de zone géographique
    • Ect.
  2. Pourquoi se reconvertir dans les métiers de l’IT ? Qu’est-ce qui vous plaît dans ceux-ci ? Identifiez les raisons d’une reconversion dans le secteur informatique : 
    • Les salaires sont confortables.
    • Ces métiers ne connaissent pas de crise.
    • Le télétravail est largement développé et est compatible avec les tâches confiées.
    • Vous avez de grandes appétences pour les nouvelles technologies, pour les chiffres, pour le monde de la data en général.
    • Vous êtes agile, vous êtes curieux, vous suivez avec attention les avancées techniques sur les outils de l’IT et du numérique.
    • Vous avez conscience des enjeux qui se jouent avec les données et vous souhaitez y contribuer.
  3. Quel emploi informatique exercer ? Choisir un métier, objet de votre reconversion dans l’IT. Vous devez alors vous renseigner sur la meilleure façon d’atteindre votre objectif (compétences, formation, débouchés).

Si vous n’êtes pas sûr de votre choix ou si vous hésitez entre plusieurs débouchés professionnels, n’hésitez pas à interroger votre réseau pour vous renseigner et vous aider à trancher. Vous pouvez aussi parcourir différentes fiches métiers ou contacter les organismes de formation pour affiner votre projet professionnel.

Bon à savoir : si vous êtes un peu perdu, ne désespérez pas. Vous pouvez mobiliser votre CPF pour faire un bilan de compétences. Si vous êtes cadre en poste, vous pouvez aussi vous faire accompagner par un conseiller APEC pour vous aider à vous reconvertir. 

À noter : se reconvertir en CDI c’est aussi possible. Mais ne sous-estimez pas la perte de salaire si vous devez démissionner. Une reconversion prend du temps, entre 6 et 36 mois. Vous devez alors anticiper la perte financière que cela représente pour vous former sur vos heures habituelles de travail.

Etape 2 reconversion IT : lister les compétences à acquérir

Chaque métier de l’IT mobilise des compétences techniques (hard skills) et des compétences comportementales (soft skills) spécifiques.

Il est donc important de prendre connaissance du profil idéal attendu par les entreprises afin de répondre précisément à leurs besoins. 

Dans un premier temps, renseignez-vous sur les compétences indispensables pour exceller sur le métier de l’IT que vous avez sélectionné

Vous pouvez consulter des fiches métiers ou directement lire les annonces d’emploi. Bien rédigées, elles listent les savoirs et les aptitudes nécessaires pour être embauché.

Par exemple, un analyste en cybersécurité doit : 

  • Hard skills : 
    • Maîtriser les compétences informatiques indispensables : les langages de programmation, les outils de cloud computing, les logiciels de big data et d’intelligence artificielle (IA). Mais aussi les outils de marketing digital.
    • Maîtriser les enjeux des cyberattaques.
    • Connaître les menaces en cybersécurité.
    • Savoir détecter une cyberattaque.
    • Mettre en place un plan de veille.
    • Analyser les failles qui ont mené à une cyberattaque.
  • Soft skills : 
    • Être curieux.
    • Être agile.
    • Savoir s’adapter rapidement aux évolutions technologiques.
    • Être réactif.
    • Être rigoureux.

Dans un second temps, listez une à une vos compétences

Elles peuvent être acquises par le biais de votre formation initiale, mais aussi lors de formations continues. 

Certaines peuvent aussi naître d’expériences professionnelles ou personnelles significatives. Par exemple, si vous encadrez depuis de nombreuses années une équipe de football dans votre ville, on décèlera chez vous le goût du travail en équipe et l’importance de la cohésion.

N’oubliez pas les compétences transférables, qui sont tout autant utiles d’un métier à un autre. Par exemple, le leadership est une qualité appréciée de manière universelle si vous visez un poste de direction, de chef de projet informatique ou de manager.

Enfin, soulignez vos compétences informatiques manquantes. Tout l’enjeu réside dans le fait de les combler pour vous donner les meilleures chances de taper dans l’œil d’un recruteur.

Notre conseil : dans le cadre d’une reconversion professionnelle, ne négligez pas la rubrique Centres d’intérêt du CV. Elle peut regorger de soft skills intéressantes pour le recruteur. 

Etape 3 reconversion I : sélectionner la bonne formation

Pour ressembler le plus possible au profil du candidat idéal sur le métier de l’IT sélectionné, il y a de grandes chances que vous deviez suivre une formation adaptée. Celle-ci doit vous donner les bases d’un métier ou renforcer des connaissances.

Les organismes de formation sont nombreux. Sélectionner le bon est un enjeu fort pour réussir sa reconversion dans l’IT car toutes les formations ne se valent pas et n’ont pas la même reconnaissance aux yeux des recruteurs.

Point essentiel, la formation doit être reconnue par l’État et délivrer une certification à l’issue du parcours. C’est cette dernière qui constitue votre précieux sésame auprès des entreprises qui recrutent. 

Dans le cadre d’une reconversion dans l’IT, vous pouvez opter pour une formation : 

  • En alternance. Elle alterne des phases théoriques dans un organisme de formatique et des phases pratiques en entreprise.
  • Classique : tous les enseignements sont dispensés par l’organisme de formation, en présentiel, à distance ou hybride.

Vérifiez bien le programme de formation, les conditions d’admission, le profil des enseignants, le coût et les modalités de financement possibles. Tous ces éléments doivent être pris en compte pour faire les bons choix.

Fitec est un organisme de formation reconnu par l’État qui propose de nombreuses formations dans l’IT et le numérique. 

Par exemple : 

En cas de doute ou de question, appelez le service des admissions. Il vous renseignera et vous aiguillera dans votre projet de reconversion.

Etape 3 reconversion IT : sélectionner la bonne formation

Pour ressembler le plus possible au profil du candidat idéal sur le métier de l’IT sélectionné, il y a de grandes chances que vous deviez suivre une formation adaptée. Celle-ci doit vous donner les bases d’un métier ou renforcer des connaissances.

Les organismes de formation sont nombreux. Sélectionner le bon est un enjeu fort pour réussir sa reconversion dans l’IT car toutes les formations ne se valent pas et n’ont pas la même reconnaissance aux yeux des recruteurs.

Point essentiel, la formation doit être reconnue par l’État et délivrer une certification à l’issue du parcours. C’est cette dernière qui constitue votre précieux sésame auprès des entreprises qui recrutent. 

Dans le cadre d’une reconversion dans l’IT, vous pouvez opter pour une formation : 

  • En alternance. Elle alterne des phases théoriques dans un organisme de formatique et des phases pratiques en entreprise.
  • Classique : tous les enseignements sont dispensés par l’organisme de formation, en présentiel, à distance ou hybride.

Vérifiez bien le programme de formation, les conditions d’admission, le profil des enseignants, le coût et les modalités de financement possibles. Tous ces éléments doivent être pris en compte pour faire les bons choix.

Fitec est un organisme de formation reconnu par l’État qui propose de nombreuses formations dans l’IT et le numérique. 

Par exemple : 

En cas de doute ou de question, appelez le service des admissions. Il vous renseignera et vous aiguillera dans votre projet de reconversion.

Etape 4 reconversion IT : trouver un emploi

Ultime étape d’un parcours de reconversion IT, intégrer une entreprise pour exercer votre nouveau métier.

Rendez vous visible sur le marché de l’emploi, en actualisant votre profil sur les réseaux sociaux. 

Avant de répondre aux offres d’emploi ou d’envoyer des candidatures spontanées, veillez à bien mettre à jour votre CV de votre nouvelle formation, du diplôme obtenu et des compétences acquises. C’est votre vitrine professionnelle. Il doit donc correspondre à votre nouveau projet.

Préparez en amont des entretiens un petit speech pour expliquer votre projet de reconversion. Il y a de grandes chances que l’on vous interroge dessus dans le cadre d’un recrutement.

Ne perdez jamais de vue que, reconversion ou non, votre objectif est de convaincre l’entreprise que vous êtes le candidat idéal.

Bon à savoir : pour certains métiers en tension, les recruteurs rivalisent d’imagination pour attirer les talents. Si votre candidature les intéresse, vous serez en position de force pour négocier des conditions favorables.

Etape 4 reconversion IT : trouver un emploi

Ultime étape d’un parcours de reconversion IT, intégrer une entreprise pour exercer votre nouveau métier.

Rendez vous visible sur le marché de l’emploi, en actualisant votre profil sur les réseaux sociaux. 

Avant de répondre aux offres d’emploi ou d’envoyer des candidatures spontanées, veillez à bien mettre à jour votre CV de votre nouvelle formation, du diplôme obtenu et des compétences acquises. C’est votre vitrine professionnelle. Il doit donc correspondre à votre nouveau projet.

Préparez en amont des entretiens un petit speech pour expliquer votre projet de reconversion. Il y a de grandes chances que l’on vous interroge dessus dans le cadre d’un recrutement.

Ne perdez jamais de vue que, reconversion ou non, votre objectif est de convaincre l’entreprise que vous êtes le candidat idéal.

Bon à savoir : pour certains métiers en tension, les recruteurs rivalisent d’imagination pour attirer les talents. Si votre candidature les intéresse, vous serez en position de force pour négocier des conditions favorables.

Reconversion IT, ce qu’il faut retenir

Changer de métier prend du temps. Y compris dans le secteur informatique car vous devrez acquérir de nouvelles compétences pour répondre aux besoins concrets des employeurs.

Vos efforts seront récompensés après un parcours méthodique et réfléchi : 

  • Choix du métier IT qui vous ressemble. L’offre de carrière est nombreuse : développeur web, data analyst, technicien SI, analyste cybersécurité, consultant SAP…
  • Appréciation des compétences acquises et à acquérir.
  • Sélection d’un organisme de formation sérieux.
  • Recherche d’un emploi.

Bonne reconversion !

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4 conseils pour réussir sa reconversion en data analyst

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Vous envisagez de vous reconvertir en data analyst ? Vous avez bien raison. Le marché des talents en IT est en tension, les entreprises sont en quête de nouveaux profils et rivalisent d’idées pour attirer les nouveaux talents. Certains investissent même dans la reconversion professionnelle des futurs collaborateurs. Mais un changement de carrière ne s’effectue pas en un claquement de doigts. Le parcours peut être long, parsemé d’embûches et nécessite de savoir où l’on va. Pour vous donner les meilleures chances de succès dans votre projet de reconversion en data analyst, et donc de trouver l’emploi de vos rêves, il est important d’avoir en tête quelques informations clés. Elles sont au nombre de 4. Nous vous les livrons dans cet article.

Gros plan sur main avec souris

1. Qui peut se reconvertir en data analyst ?

Vous portez de l’intérêt aux nouvelles technologies, au monde de la data et vous avez une passion pour les chiffres et les statistiques ? Le métier de data analyst en reconversion est alors fait pour vous ! Il est ouvert aux demandeurs d’emploi, mais aussi à tous les salariés en poste qui souhaitent opérer un changement de carrière.

Le rôle du data analyst est clair : il est chargé d’exploiter et de modéliser la data collectée afin de la traduire en langage clair pour les différents services de l’entreprise

Les enjeux de son travail sont importants. C’est grâce à lui que sont décidées les grandes orientations stratégiques de l’entreprise.

Le data analyst met l’ensemble de ses connaissances au profit dans tous les services de l’entreprise qui récoltent des données : le marketing, le commercial, la communication, la finance…

Pour réussir votre reconversion professionnelle en data analyst, vous devez alors posséder des compétences indispensables en analyse de données, en statistique et en programmation.

Rassurez-vous, si vous n’êtes pas issu d’un cursus scientifique ou informatique, se recconvertir en data analyst c’est possible dès lors que vous avez de l’appétence et de la curiosité pour les logiciels informatiques, les langages de programmation, la collecte et l’exploitation des données, ainsi qu’une aisance avec les chiffres. Une bonne formation vous permettra de peaufiner un CV complet et attractif pour les employeurs.

A contrario, si vous faites une aversion pour les mathématiques et que vous ne supportez pas être devant un écran d’ordinateur, la reconversion sur ce type de métier n’est pas faite pour vous.

Bon à savoir : si vous êtes un peu perdu dans votre projet professionnel, n’hésitez pas à faire un bilan de compétences pour vous aider à y voir plus clair. Vous pourrez le financer avec votre CPF.

2. Quelles sont les compétences indispensables pour une reconversion de data analyst réussie ?

Le métier de data analyst mobilise des savoir-faire (hard skills) et des savoir-être indispensables (soft skills) pour exceller sur les différentes missions qui peuvent lui être confiées.

Dans le cadre d’une reconversion, il est important de faire un état des lieux des savoirs que vous possédez déjà dans votre escarcelle. Vous avez peut-être des compétences transférables, utiles dans votre prochaine carrière. Cela vous permettra de mieux vous orienter lorsque vous rechercherez une formation de data analyst.

Les compétences techniques indispensables d’un bon data analyst

Plusieurs hard skills sont nécessaires pour relever les défis quotidiens du data analyst. 

Notamment, maîtriser :

  • Les langages de programmation : Python, C++, R, SQL…
  • Les systèmes d’exploitation.
  • Les outils de data visualisation (Dataviz) et de modélisation des données : Excel, Tableau, Qlikview, PowerBI…
  • Les outils de fouille et d’analyse de données.
  • Les tests et les méthodes statistiques.
  • La modélisation de données et la visualisation.

Bon à savoir : la data se retrouve partout. Ainsi, le data analyst reconverti peut travailler dans des secteurs d’activité variés. Comme la santé, l’agroalimentaire, la finance ou la comptabilité. Mais rassurez-vous, inutile d’être un expert de la thématique analysée. Vous serez directement briefé sur le sujet par votre employeur.

Les compétences comportementales indispensables

Les qualités humaines ne doivent pas être négligées dans le métier de data analyst. 

Plusieurs soft skills sont appréciés par les recruteurs, que vous soyez en pleine reconversion, jeune diplômé sur le marché du travail, ou data analyst aguerri : 

  • Une excellente communication. Les interactions avec les différentes équipes de l’entreprise sont quotidiennes.
  • De l’adaptabilité aux outils utilisés par l’entreprise. Mais aussi aux évolutions technologiques dans ce secteur d’activité.
  • La capacité à travailler en équipe.
  • La curiosité.

Si vous ne possédez pas toutes les compétences utiles, rien n’est irrémédiable ! Une solide formation vous permettra d’acquérir celles qui sont fondamentales, recherchées par les entreprises.

3. Quelles formations suivre pour une reconversion réussie en data analyst ?

Suivre une formation de qualité, complète et reconnue par les pairs est primordiale pour se donner les meilleures chances de succès sur le chemin de la reconversion.

La certification obtenue à l’issue du programme suivi est importante pour rassurer le recruteur sur la qualité des enseignements. Elle est un atout précieux pour réussir votre changement de carrière.

De nombreux organismes de formation proposent un accompagnement aux publics en reconversion.

Par exemple, Fitec a élaboré une formation data analyst accessible : 

  • Aux personnes titulaires d’une certification professionnelle ou d’un diplôme de niveau 6 (bac+3) dans le domaine du management de projets, de l’informatique ou du développement et justifiant d’au moins 1 année d’expérience dans ce secteur.
  • Aux personnes titulaires d’une certification professionnelle ou d’un diplôme de niveau 5 (bac+2) dans le domaine du management de projets, de l’informatique ou du développement et justifiant d’au moins 3 ans d’expérience dans ce secteur.

Celles-ci doivent également avoir une première expérience IT. Par exemple, dans la data ou en tant que développeur.

La formation alterne cours théoriques, 20 % et cours pratiques (80 %). Elle est dispensée par des professionnels qui interviennent dans leur domaine de compétences.

Fitec délivre une certification reconnue par les recruteurs : l’attestation Bloc de compétences : RNCP37172BC02 – Élaborer une solution technique de collecte et de traitement de données massives, concourant à la certification RNCP Data Engineer de niveau 7 (bac+5).

Bon à savoir : vérifiez toujours que les formations que vous sélectionnez sont reconnues par l’État.

À noter : vous pouvez aussi opter pour une alternance. L’École PMN, Passerelle des Métiers du Numérique, propose des formations en alternance pour tous ceux qui souhaitent s’orienter vers les métiers porteurs de l’informatique, de la data ou encore du marketing digital.

4. Comment mettre en valeur sa reconversion en data analyst ?

Après avoir obtenu votre certification à l’issue de votre formation de data analyst, c’est le moment de mettre en avant sa qualité et les savoirs acquis dans votre CV.

Même dans le cadre d’une reconversion professionnelle, le CV est un élément indispensable pour présenter votre candidature. Qu’elle soit spontanée ou qu’elle réponde à une offre d’emploi.

Dans votre CV de reconverti : 

  • Listez-y toutes vos compétences nouvellement acquises, hard skills et soft skills.
  • Précisez l’intitulé de votre formation et la certification délivrée.
  • Conservez toutes les expériences passées qui ont un sens avec votre projet de reconversion.

L’objectif est de montrer aux entreprises que vous possédez tous les éléments indispensables pour exceller sur le poste de data analyst ! 

Se reconvertir en data analyst, ce qu’il faut retenir

Changer de métier pour devenir data analyst c’est possible, dès lors que vous aimez manier les données et que vous avez un fort attrait pour les outils qui gravitent autour.

Pour renforcer vos compétences et rivaliser avec les candidats fraîchement diplômés ou dotés d’une solide expérience dans cet univers, votre arme indispensable est de suivre une solide formation dans le cadre de votre reconversion professionnelle.

Après avoir obtenu un diplôme attestant de l’ensemble des savoirs obtenus, mettre à jour son CV est un passage obligé. C’est votre précieux sésame pour convaincre les recruteurs de la qualité de votre candidature.

Tout comme l’analyst cybersécurité, le data scientist ou le chef de projet SAP/Salesforce, le data analyst fait partie des métiers porteurs du numérique et de la data. Vous ne regretterez pas votre choix. Bonne reconversion !

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Pourquoi la RSE peut-elle vous aider dans vos recrutements ?

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RSE, c’est le sigle pour Responsabilité Sociale (ou Sociétale) des Entreprises. Elle permet d’associer des concepts qui auraient pu paraître éloignés de prime abord : la rentabilité et l’impact positif. Elle s’applique à toutes les entreprises, du grand groupe à la start-up, et à tous les secteurs d’activités. Si la prise en compte de la RSE est d’abord bénéfique pour l’ensemble de la population, elle est aussi un levier efficace pour améliorer l’attractivité de votre entreprise. Les difficultés de recrutement n’épargnent personne. Certains métiers sont en tension et il peut être très difficile pour les recruteurs d’attirer les bons profils. Pourquoi la RSE peut-elle vous aider dans vos recrutements ? Nous vous proposons 5 raisons valables qui vont vous convaincre de mieux communiquer autour de vos actions à impact positif.

Recruteur (infodis) en Job Dating

Qu’est-ce que la responsabilité sociale des entreprises (RSE) ?

La RSE, c’est l’ensemble des actions mises en œuvre par les entreprises, par choix et par contrainte, pour mieux prendre en compte les enjeux environnementaux dans leurs pratiques quotidiennes

Par exemple : 

  • Mieux gérer la gestion des déchets produits par l’entreprise.
  • Faire appel à des partenaires locaux.
  • Passer à l’énergie renouvelable.
  • Se soucier du bien-être de ses collaborateurs.

Consciente que la RSE est l’affaire de tous, la Commission européenne a défini la RSE comme la responsabilité des entreprises vis-à-vis des effets qu’elles exercent sur la société (COM(2011)681 final).

Les effets visés peuvent être de différentes natures : 

  • Environnementaux. La RSE vient alors limiter la pollution, favoriser la biodiversité, maîtriser l’utilisation des ressources.
  • Sociaux. La RSE agit sur la QVCT, le climat social, l’inclusion, la diversité, la parité…
  • Éthiques. La RSE vise à prévenir la fraude et la corruption…
  • Économiques. La RSE pousse à soutenir l’économie locale, le circuit court…

Pour aider les entreprises à déployer une politique RSE, la norme internationale ISO 26000 propose 7 lignes directrices sur lesquelles s’appuyer : 

  1. La gouvernance de l’organisation.
  2. Les droits de l’Homme.
  3. Les relations et les conditions de travail.
  4. L’environnement.
  5. La loyauté des pratiques.
  6. Les questions relatives aux consommateurs.
  7. Les communautés et le développement local.

Toutes ces pistes ne sont pas nécessairement à exploiter en même temps. Elles peuvent faire l’objet de choix débattus et priorisés par les collaborateurs chargés de mettre en place la stratégie RSE de l’entreprise.

Bon à savoir : en France, le corpus législatif en matière de RSE se diversifie. Par exemple, la prise en compte des enjeux sociaux et environnementaux est clairement mentionnée dans l’article 1833 du Code civil. L’article 1835 du même code donne la possibilité aux associés d’indiquer dans les statuts la raison d’être de leur entité. La loi Pacte du 22 mai 2019 a créé le statut d’entreprise à mission. 

À noter : pour vous assurer de toujours être en conformité avec la loi, le Gouvernement a lancé une plateforme numérique qui permet de connaître et de répondre facilement aux obligations RSE de votre entreprise portail-rse.gouv.fr.

1er raison : la RSE attire de nouveaux candidats

En déployant votre stratégie RSE, vous vous offrez l’opportunité de toucher une nouvelle cible de candidats, soucieuse des questions environnementales, sociales, éthiques et économiques.  

Vous attirez naturellement et plus facilement 2 types de profils : 

  • Les candidats qui souhaitent directement exercer un emploi à impact positif. La RSE est porteuse de nouveaux métiers qui exigent des compétences propres et un engagement fort : responsable RSE, chargé de missions RSE, juriste RSE, consultant… En vous ouvrant à de nouveaux métiers, vous allez attirer des profils en quête de carrières innovantes et soucieux d’apporter leur pierre à l’édifice environnemental.
  • Les candidats en phase avec votre politique RSE, qui souhaitent occuper un emploi dans l’entreprise. La RSE et les actions engagées font aujourd’hui partie des critères de prédilection des candidats dans le choix d’une entreprise plus qu’une autre. Au même titre que la localisation, le salaire ou les conditions de travail.

2e raison : la RSE contribue au rayonnement de votre marque employeur

La marque employeur, c’est l’image de votre entreprise. Ce qu’on dit sur elle. 

Elle ne doit pas être négligée car elle est un vecteur de recrutement pour le service des ressources humaines de l’entreprise. Plus elle est forte, plus elle suscite l’engouement et donc de candidatures. Elle vous permet de toucher des candidats qui n’avaient pas forcément prévu de changer d’employeur immédiatement.

Afficher votre prise en compte de l’impact environnemental et des actions concrètes déployées en interne pour y répondre ne peut être que bénéfique pour son rayonnement. On parle de vous, et en bien !

3e raison : la RSE témoigne d’une marque consciente des enjeux environnementaux actuels

Une entreprise engagée, consciente des défis à relever pour se transformer en entreprise durable, favorise la confiance des candidats en quête de sens au travail.

Une entreprise qui intègre la RSE dans son fonctionnement s’appuie sur un socle de valeurs qui trouve écho chez de nombreux candidats en quête d’employeurs responsables.

4e raison : la RSE fidélise les talents recrutés

Avec moins de départ dans l’entreprise, vos besoins en recrutement diminuent.

Votre démarche en matière de RSE fidélise les talents recrutés qui adhèrent automatiquement à la culture d’entreprise. En alliant la parole au geste, vous maintenez votre engagement et tenez vos promesses.

La RSE participe à la rétention de vos talents

5e raison : la RSE limite les erreurs de recrutement

Un recrutement raté coûte cher. Les ressources humaines de l’entreprise, ou le cabinet de recrutement, doivent reprendre le processus d’embauche de zéro : de la publication de l’offre d’emploi à l’onboarding du candidat dans l’entreprise.

En embauchant directement des candidats compatibles avec les valeurs défendues et portées par l’entreprise, vous évitez les erreurs de recrutement.

Comment communiquer sur ses actions RSE pour attirer plus de candidats ?

Mettre en place une démarche RSE, c’est bien. Le faire-savoir pour attirer, c’est encore mieux ! 

Donner de la notoriété à votre politique RSE permet de contribuer à la diffusion de vos bonnes pratiques :

  • En interne. Pour informer vos salariés de votre démarche autour de la responsabilité sociale des entreprises. 
  • Auprès du grand public. Pour piquer la curiosité des candidats en quête de leur prochaine expérience professionnelle, soucieux de travailler dans une entreprise dont les valeurs sont proches ou identiques.

Plusieurs canaux vous permettent de diffuser vos messages

  • Afficher les valeurs défendues et les actions menées dans vos offres d’emploi.
  • Relayer les événements RSE passés et à venir sur votre site internet corporate et sur les réseaux sociaux de l’entreprise.
  • Envoyer une newsletter à votre base.
  • Envoyer un communiqué dans la presse.

À vous de choisir le canal et le support qui convient le mieux à votre stratégie RSE et qui touchera le plus efficacement votre cible de candidats.

Veillez à toujours respecter une certaine ligne de conduite dans vos communications : 

  • Transparence sur vos actions.
  • Cohérence entre vos actes concrets et vos paroles.
  • Innovation pour transmettre vos messages et parler de votre travail.

À noter : attention au greenwashing. C’est-à-dire donner une image de marque responsable qui ne coïncide pas avec la réalité. Elle aurait un effet contre-productif, voire désastreux sur vos recrutements.

RSE, ce qu’il faut retenir pour mieux recruter

Travailler votre RSE, c’est l’assurance d’attirer et de retenir dans l’entreprise des talents qui seront associés à une image de marque positive, reconnue pour ses valeurs et ses actions responsables.

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