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La pénurie de talents dans les métiers techniques : quelles solutions pour y faire face ?

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Le secteur IT connaît une pénurie sans précédent de talents qualifiés. Dans des domaines clés comme le développement, la cybersécurité ou le cloud computing, les entreprises peinent à recruter les profils nécessaires pour soutenir leurs projets. Selon une enquête menée par le cabinet Robert Walters, 80 % des entreprises françaises rencontrent des difficultés à pourvoir des postes IT.

penurie de talents solution fitec

Pour chaque entreprise, le recrutement dans les métiers IT est donc devenu un enjeu stratégique pour assurer sa compétitivité et répondre aux évolutions rapides du marché. Face au manque de candidat, les organisations doivent repenser leurs processus de recrutement et leur gestion des compétences. Si certaines se tournent vers les freelances, une tendance en pleine expansion, d’autres investissent dans des solutions durables comme la formation continue ou des dispositifs tels que la POEI.

Quelles sont les solutions pour surmonter cette pénurie et répondre aux besoins croissants en compétences IT ? Cet article explore les approches possibles pour aider les entreprises à rester compétitives sur un marché en tension.

Comprendre la pénurie de talents dans les métiers IT

La pénurie de talents dans le secteur IT est une réalité. Le marché du travail, en particulier le secteur de l’IT, est marqué par une demande en constante évolution. Pour y faire face, il est  nécessaire d’adapter les approches de formation et de recrutement.

Tout d’abord, avec l’émergence de nouveaux outils et méthodes, comme la blockchain, l’intelligence artificielle ou le cloud computing, les besoins des entreprises évoluent à une vitesse que les formations traditionnelles peinent à suivre. 

Certains métiers, comme ceux liés à la cybersécurité, exigent une expertise pointue qui reste rare sur le marché du travail. Résultat : les postes restent vacants plus longtemps, ce qui freine la progression des projets stratégiques pour les entreprises.

Face à ces difficultés, une tendance se confirme : le recours croissant aux freelances. Ces professionnels indépendants offrent une expertise immédiate et une flexibilité qui répondent aux besoins urgents des entreprises. Le nombre de freelances dans le secteur IT devrait d’ailleurs augmenter de 12 % d’ici 2025, pour atteindre environ 1,5 million de travailleurs indépendants. Si cette solution permet de pallier temporairement la pénurie, elle reste coûteuse sur le long terme et ne répond pas toujours à l’objectif d’intégrer durablement des talents au sein des équipes.

Cette situation souligne la nécessité pour les entreprises d’adopter une approche à plus long terme, qui allie flexibilité et investissement dans les compétences. Les solutions comme la formation continue ou la POEI deviennent alors des atouts stratégiques pour surmonter cette crise des talents.

 

La formation continue : un levier pour développer les compétences internes

Pour optimiser la gestion des ressources humaines, investir dans la formation continue est une stratégie gagnante dans un contexte de pénurie des talents.

Plutôt que de chercher des profils rares sur un marché saturé, il est souvent plus judicieux d’investir dans le développement des compétences des collaborateurs existants.

  • Anticiper les besoins techniques de demain : Les technologies évoluent rapidement, et former vos salariés aux outils et langages les plus demandés (par exemple, le cloud, Python ou Kubernetes) peut permettre de répondre à des besoins immédiats tout en préparant l’avenir. Transformer un administrateur réseau en expert en cybersécurité ou un développeur junior en spécialiste du DevOps devient une opportunité de combler les écarts de compétences.
  • Fidéliser les collaborateurs : Les employés qui bénéficient de montée en compétences adaptées se sentent valorisés et engagés. Ce sentiment d’appartenance réduit le turnover et renforce la stabilité des équipes.
  • Optimiser les coûts : Recruter un talent qualifié sur un marché tendu est souvent plus coûteux que de développer ces compétences en interne. De plus, les dispositifs d’aides à la formation permettent aux entreprises d’amortir une partie des coûts. Le recours au Compte Personnel de Formation (CPF), permet même de séparer la prise en charge de la formation entre le salarié et l’entreprise

En investissant dans la formation continue, une entreprise peut non seulement pallier à ses besoins immédiats, mais aussi renforcer son attractivité en tant qu’employeur engagé dans la montée en compétence de ses salariés. Former ses collaborateurs aux métiers en tension est donc une solution pérenne pour une entreprise.

La POEI et les partenariats avec les écoles : des solutions pour recruter autrement

Le recrutement dans un marché du travail en manque de candidats nécessite une approche proactive. Lorsque les talents nécessaires ne se trouvent pas en interne, la Préparation Opérationnelle à l’Emploi Individuelle (POEI) peut être la solution.

La POEI (Préparation Opérationnelle à l’Emploi Individuelle) est un dispositif qui permet aux entreprises de former des candidats pour lesquels ils ont rédigé une promesse d’embauche pour répondre à des besoins spécifiques sur des postes vacants. Cofinancée par France Travail et des aides publiques, elle offre une formation ciblée pour rendre les candidats opérationnels avant leur embauche.

Pour faciliter le recours à ce dispositif, une entreprise a tout intérêt à développer des partenariats solides avec les acteurs de la formation.

 

La POEI : un tremplin vers des recrutements ciblés

La POEI permet d’ accompagner les candidats vers l’emploi dans des secteurs techniques en tension. Cette approche est particulièrement adaptée au secteur IT, où les compétences recherchées (développement, DevOps, cybersécurité) peuvent être acquises rapidement grâce à une formation ciblée.

Il est cependant important de noter que la POEI nécessite des pré-requis, comme un diplôme préalable en informatique ou une expérience professionnelle significative. L’objectif est de poursuivre la montée en compétences des collaborateurs sur des techniques et technologies pointues, afin de les rendre immédiatement opérationnels sur des missions complexes.

 

Les partenariats avec les organismes de formation pour recruter grâce à la POEI

Collaborer avec des organismes spécialisés peut être un choix gagnant pour les entreprises afin de recruter efficacement grâce à la POEI. Ces partenariats sont un gain de temps et un gage de sérieux pour les entreprises. Les organismes de formation peuvent vous proposer des candidats prêts à intégrer une formation et en attente d’une promesse d’embauche.

En mobilisant la POEI, les entreprises bénéficient ainsi de profils qualifiés à l’issue du cursus, tout en réduisant les coûts liés aux processus de recrutement et à l’intégration. Par exemple, une entreprise peut valider une POEI pour des apprenants souhaitant se former au métier de testeur QA ou de développeur, répondant ainsi à ses besoins immédiats.

FITEC Formation peut accompagner votre entreprise dans ce type de projet, en vous aidant à définir les parcours adaptés et en sélectionnant les bons profils pour répondre à vos enjeux de recrutement.

Faire face à la pénurie de talents dans les métiers techniques, notamment dans le secteur IT, constitue un véritable défi pour les entreprises. Face à cette réalité, il est crucial d’adopter une approche proactive et stratégique en matière de recrutement. Si les profils recherchés sont difficiles à trouver sur le marché, les solutions telles que la POEI ou la formation continue offrent de réelles opportunités pour renforcer les équipes et répondre aux besoins croissants en compétences.

Investir dans la formation interne, c’est non seulement combler les postes en tension mais aussi fidéliser les collaborateurs, améliorer leur expertise et soutenir la compétitivité de l’entreprise face à la concurrence. En parallèle, les dispositifs comme la POEI permettent de former rapidement des candidats qualifiés, tout en bénéficiant du soutien de France Travail et d’autres aides publiques.

Dans un environnement en constante évolution, où les technologies changent rapidement, anticiper les besoins en compétences et ressources humaines est plus que jamais primordial. Les employeurs n’ont pas le choix et doivent investir dans la formation pour faire face aux difficultés de recrutement.

Les entreprises qui réussissent à mettre en place ces solutions seront mieux armées pour attirer, former et fidéliser les talents, et ainsi se positionner comme des acteurs de premier plan sur un marché du travail compétitif.

 

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Quels sont les métiers de l’informatique à suivre de près en 2025 ?

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Vous souhaitez en savoir plus sur les métiers de l’informatique ? Vous avez bien raison, ils sont porteurs et dynamiques ! Mais aussi en constante évolution pour s’adapter aux nombreuses évolutions technologiques. En 2025, le monde numérique va continuer de transformer les emplois traditionnels et créer de nouvelles professions. Quels sont les métiers de l’informatique qui domineront le marché de l’emploi ? Quelles formations et études suivre pour y accéder ? Découvrez nos réponses.

Apprenants avec postites en gros plan

Pourquoi les métiers de l’informatique vont-ils être très recherchés en 2025 par les entreprises ?

La transformation digitale touche toutes les organisations et au même moment. Elles ont toutes besoin de profils IT formés et compétents pour digitaliser leurs processus et leurs outils. Mais aussi pour entretenir les systèmes d’information déjà en place.

La digitalisation touche de nombreux domaines. Par exemple :

  • La gestion des réseaux informatiques.
  • Le développement d’applications et de sites web.
  • La cybersécurité pour protéger les données sensibles.
  • L’intelligence artificielle (IA) et les systèmes automatisés.

Les métiers de l’informatique sont très pointus. Ils répondent à des besoins technologiques précis des entreprises : le cloud, la data, la cybersécurité, le SAP (formation SAP)… Un haut niveau de connaissances techniques est attendu pour ces experts. On parle d’hyperspécialisation des compétences. Ce qui oblige les employeurs à recruter des profils IT toujours plus spécifiques.

En 2025, les emplois dans la tech bénéficieront de la même dynamique que ces dernières années. Beaucoup de recrutements, des enjeux digitaux importants pour les entreprises et des salaires à la mesure des attentes des employeurs. C’est-à-dire élevés.

Quels sont les métiers qui vont être les plus recherchés en 2025 ?

Le cabinet de recrutement Michael page liste les 5 profils IT les plus recherchées (Étude de rémunérations 2025)

Chef de projet IT

Le chef de projet IT coordonne les équipes techniques pour assurer la réussite des projets informatiques. Ce métier exige à la fois des connaissances techniques et des savoirs en gestion de projet Agile.

Compétences requises

  • Maîtrise des méthodologies de gestion de projet (méthode Agile, Scrum…).
  • Connaissance des technologies numériques et des processus de développement informatique.
  • Excellentes compétences en communication pour interagir avec les équipes et les parties prenantes.
  • Gestion des délais et des budgets.

Formation

Plusieurs voies sont possibles pour accéder à ce métier très demandé de l’informatique : 

  • Des études en informatique complétées par un Master en gestion de projet.
  • Une école d’ingénieurs avec une spécialisation en management de projet numérique.
  • Des certifications professionnelles pour renforcer les compétences en gestion.

Salaire

Un chef de projet IT démarre sa carrière avec une rémunération autour de 45 000 euros brut par an environ. L’expérience est un vecteur d’augmentation importante du salaire.

Software engineer (ingénieur logiciel)

L’ingénieur logiciel conçoit, développe et maintient des applications et des logiciels complexes. Il intervient dans toutes les étapes d’un projet, depuis l’analyse des besoins jusqu’à la mise en production.

Compétences requises

  • Maîtrise des langages de programmation (Java, Python, C++, etc.).
  • Connaissance des architectures logicielles et des bases de données.
  • Capacité à résoudre des problèmes complexes et à travailler sur des projets collaboratifs.
  • Sens de l’organisation et gestion des priorités.

Formation

Pour devenir ingénieur logiciel, un cursus approfondi en informatique est fortement attendu. Après un bac scientifique ou technologique, les études peuvent inclure :

  • Une école d’ingénieurs spécialisée en informatique.
  • Une licence et un master en informatique, avec une spécialisation en développement logiciel.

Salaire

Un ingénieur logiciel débutant peut espérer un salaire moyen de 40 000 euros brut par an environ. Avec de l’expérience, ce montant peut rapidement croître.

Data engineer

Le data engineer est un spécialiste de la donnée et de l’exploitation du Big data dans l’entreprise. Il organise la collecte des données et il les transforme pour qu’elles soient intelligibles (et notamment exploitables par les data analyst).

Compétences requises

  • La connaissance des systèmes d’exploitation (Unix, Windows, Solaris, Linux).
  • L’utilisation des langages de programmation (Python, Javascript, C++, Scala…).
  • La maîtrise des outils de bases de données (SQL, NoSQL).
  • Les outils de stockage des données.
  • Les outils de manipulation des données (ETL, LET…).
  • Les outils liés au Big Data, à la gestion de flux : Kafka, Flink, Hadoop, Spark…
  • Les outils d’intelligence artificielle (IA).

Formation

Un Bac +5 est généralement le niveau d’étude exigé par les recruteurs (diplôme d’une école d’ingénieur, d’une école de commerce ou d’une école spécialisée dans l’informatique ou le numérique). 

Salaire

En début de carrière, le salaire moyen tourne autour de 40 000 euros brut par an. Avec plus de 10 ans d’expérience, la rémunération attendue se situe autour de 54 000 euros brut par an.

Ingénieur cybersécurité

Avec l’augmentation des cyberattaques, le métier d’ingénieur en cybersécurité est en forte demande. Ce professionnel protège les réseaux, les systèmes et les données sensibles des entreprises. Se former à la cybersécurité est une excellente idée si vous souhaitez évoluer dans un univers en pleine croissance.

Compétences requises

  • Maîtrise des systèmes de sécurité.
  • Connaissance des technologies de chiffrement.
  • Capacité à analyser et à réagir aux menaces.

Formation

Des études en informatique avec une spécialisation en cybersécurité sont essentielles. Les entreprises exigent a minima un bac +3 pour démarrer dans la cybersécurité. Un bac +5 est un vrai plus.

Les métiers de la cybersécurité sont variés. Voici quelques exemples : ingénieur cybersécurité, pentester, architecte cybersécurité, analyste cybersécurité ou consultant cybersécurité

Si vous souhaitez suivre un cursus court, Fitec a développé une offre sur la thématique de la sécurité informatique : 

Salaire

En début de carrière, le salaire moyen tourne autour de 40 000 euros brut par an, avec des évolutions rapides.

Technicien IT

Technicien support applicatif, technicien support, technicien d’exploitation… Le technicien IT joue un rôle crucial dans le bon fonctionnement des infrastructures informatiques d’une organisation. C’est souvent lui qui intervient en première ligne pour résoudre les problèmes techniques.

Compétences requises

  • Connaissance approfondie des systèmes d’exploitation (Windows, macOS, Linux).
  • Gestion des réseaux locaux (LAN) et des équipements tels que les routeurs et switches.
  • Savoir diagnostiquer et résoudre des pannes matérielles ou logicielles.
  • Excellente capacité relationnelle pour assister les utilisateurs.

Formation

A minima, les employeurs exigent un bac pro pour les techniciens IT. Les étudiants peuvent ensuite poursuivre avec un BTS (par exemple, le BTS Services informatiques) ou un BUT (par exemple, Réseaux et télécommunications).

Dans le cadre d’une reconversion professionnelle, ou si vous souhaitez monter en compétences dans votre entreprise, des organismes de formation reconnus proposent des formations certifiantes de qualité pour accéder à un poste de technicien IT.

Salaire

En début de carrière, un technicien informatique peut gagner environ 25 000 euros par an. Avec l’expérience et des connaissances avancées, ce salaire peut monter à 35 000 euros ou plus.

Comment accéder aux métiers de l’informatique ?

Accéder aux métiers de l’informatique nécessite de suivre un parcours adapté, qui combine formation, spécialisation et expérience pratique. 

Voici les étapes essentielles pour y parvenir :

  1. Opter pour une formation post-bac spécialisée :
    • Les BTS et BUT en informatique sont des cursus accessibles après le bac et permettent d’acquérir des hard skills solides.
    • Les écoles d’ingénieurs et les licences universitaires en informatique offrent des formations plus approfondies, idéales pour ceux qui visent des postes d’ingénieurs ou de gestionnaires de projets.
    • En fonction de vos intérêts (développement web, cybersécurité, intelligence artificielle, etc.), choisissez de vous spécialiser en suivant un Master. Les métiers de l’informatique sont variés : développeur, informaticien, consultant…
  2. Monter en compétences : des certifications spécifiques proposées par les organismes de formation sérieux comme Fitec vous permettent de vous former sur les outils et les méthodologies utilisés dans le secteur informatique.
  3. Rester à jour : les technologies évoluent rapidement. Participer à des formations continues et obtenir des certifications sont des démarches importantes pour rester compétitif et garantir son employabilité.

Les métiers de l’informatique ont-ils de l’avenir ?

L’avenir des métiers de l’informatique est particulièrement prometteur, porté par la transformation numérique globale et les innovations technologiques. En 2025, les opportunités dans ce domaine continueront à croître pour plusieurs raisons essentielles :

  1. La numérisation massive des entreprises : qu’il s’agisse de PME ou de grandes multinationales, toutes investissent dans des solutions numériques pour optimiser leurs processus. 
  2. L’importance accrue de la cybersécurité : avec la multiplication des données sensibles et des menaces numériques, chaque entreprise a un besoin urgent de professionnels capables de sécuriser leurs systèmes et leurs réseaux.
  3. L’émergence des technologies innovantes : l’intelligence artificielle ou le cloud computing continuent de redéfinir les besoins en compétences informatiques, ouvrant la voie à des métiers encore plus spécialisés.
  4. La pénurie de talents : la demande pour des profils qualifiés dépasse largement l’offre. Ce qui vous garantit une forte employabilité et des évolutions de carrière rapides.
  5. Des salaires compétitifs et attractifs : la concurrence entre entreprises pour attirer les meilleurs talents en informatique contribue à maintenir des niveaux de rémunération élevés, avec de nombreuses perspectives d’évolution.

Les métiers de l’informatique en 2025, ce qu’il faut retenir

En 2025, les métiers de l’informatique continueront à offrir des opportunités professionnelles prometteuses et variées. 

Pour les jeunes diplômés comme pour les professionnels en reconversion, s’orienter vers ce secteur est une décision stratégique qui garantit des opportunités professionnelles variées, stimulantes et bien rémunérées.

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Pourquoi former vos salariés à la transformation numérique est essentiel pour rester compétitif ?

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La transformation numérique est aujourd’hui un impératif pour toutes les entreprises qui souhaitent rester compétitives dans un environnement en constante évolution. Elle touche tous les secteurs d’activité, toutes les tailles d’organisation et tous les processus internes. L’adoption de nouvelles technologies plus modernes et 100 % digitales a modifié les façons de faire mais aussi les rapports avec les collaborateurs et les clients. Pour que le virage numérique soit un succès et réponde aux nouvelles exigences du marché, il passe nécessairement par l’adaptation des compétences des salariés. Il est essentiel pour chaque entreprise d’intégrer une stratégie de formation pour permettre aux équipes de maîtriser les technologies de demain. Pourquoi devez-vous former vos salariés à la transformation numérique ? Découvrez nos réponses.

Stagiaire en pleine présentation de sa soutenance

Qu’est-ce que la transformation numérique ?

La transformation numérique dans une entreprise désigne toutes les initiatives mises en place pour intégrer les technologies digitales dans l’ensemble de ses processus.

Elle touche tous les aspects de la vie d’une entreprise. Par exemple : 

  • La gestion des activités quotidiennes. Par exemple, avec l’aide d’un ERP (Enterprise resource planning).
  • La relation client. Par exemple, avec l’aide d’un CRM (Customer Relationship Management).
  • La gestion des ressources humaines (RH). Par exemple, en utilisant un SIRH (Système d’Information des Ressources Humaines) ou un ATS (Applicant Tracking System) pour le recrutement.
  • La stratégie marketing et commerciale en collectant et en exploitant de nombreuses données.

De nombreux outils digitaux sont disponibles pour accompagner la transformation numérique : 

  • Les technologies d’intelligence artificielle (IA).
  • Le cloud computing.
  • Les outils qui favorisent le travail collaboratif.
  • Les applications de communication à distance.
  • Les outils d’automatisation des processus. Par exemple pour s’affranchir de tâches chronophages.
  • Les systèmes de gestion automatisés.
  • Les technologies de Big data.
  • Etc.

Au-delà de la technologie, la transformation numérique modifie également la culture d’entreprise. Elle favorise une approche plus agile, plus flexible et souvent plus collaborative. 

Quels sont les enjeux de la transformation digitale pour les entreprises ?

Ils sont fondamentaux ! Il est impensable aujourd’hui qu’une organisation reste compétitive et attractive sans prendre part à la révolution digitale.

Plus les processus et les outils seront intégrés dans le mode de fonctionnement de l’entreprise, meilleurs seront les résultats obtenus.

À court terme, la digitalisation a pour objectif de : 

  • Rendre le quotidien professionnel des salariés plus efficaces.
  • Améliorer l’expérience client.
  • Créer de nouvelles opportunités de business.

Pour une transition réussie, il est indispensable que les salariés soient formés à cette nouvelle approche.

Bon à savoir : une entreprise qui a digitalisé ses processus réussira à attirer plus de talents que celle qui affiche des méthodes de travail désuètes. Le virage numérique permet de s’éviter de nombreuses difficultés de recrutement

Pourquoi la formation des salariés est-elle essentielle pour réussir sa transformation numérique ?

1. L’acquisition de nouvelles compétences

La transformation numérique nécessite une évolution des compétences au sein des entreprises. 

Si, dans le passé, de nombreuses tâches étaient effectuées de manière manuelle ou à l’aide de logiciels peu complexes, les nouvelles technologies exigent des connaissances pointues en matière de gestion des outils numériques, de cybersécurité, de gestion des données et d’analyse. Former les salariés est donc indispensable pour leur permettre de comprendre et d’utiliser correctement ces nouvelles technologies.

La formation permet à la fois d’acquérir des compétences techniques (hard skills). Par exemple, en maniant de nouvelles technologies plus rapides et plus performantes. Mais aussi des compétences comportementales (soft skills) comme l’adaptabilité et la flexibilité pour pouvoir s’adapter à un environnement de travail en constante mutation

2.Maintenir la compétitivité de l’entreprise

Nulle entreprise ne peut passer à côté des différentes transformations numériques qui les touchent. Si elle ne prend pas le train en marche, elle risque de se retrouver rapidement à la traîne. 

La transformation numérique n’est pas seulement une question de technologie, mais aussi de compétitivité. Les entreprises qui adoptent le numérique plus rapidement et plus efficacement : 

  • Réussissent à réduire leurs coûts.
  • Améliorent la qualité de leurs produits et services.
  • Se rapprochent mieux des besoins et des attentes de leurs clients.

Une main-d’œuvre formée sur les outils numériques permet à l’entreprise de prendre un avantage décisif sur ses concurrents

3. L’engagement et la fidélisation des employés

La formation continue est un facteur clé de la motivation des salariés. 

Des employés formés : 

  • Améliorent leur performance.
  • Se projettent sur le long terme dans leur entreprise. 
  • Apprécient que leur employeur investisse dans leur avenir professionnel et leur employabilité. Ce signe de confiance participe à la fidélisation des salariés.
  • Se sentent moins stressés quant aux enjeux du virage digital. 

Une main-d’œuvre bien formée est plus motivée, moins réticente au changement et plus prête à adopter les nouvelles technologies. 

4. Accroître l’innovation et la créativité

Les salariés formés aux nouvelles technologies sont également plus à même de proposer des idées novatrices

Ils participent plus activement au développement de nouveaux produits, services et solutions. Cela crée un environnement propice à l’innovation continue et à l’adaptation rapide aux nouvelles tendances du marché.

5. Réduction des risques liés à la cybersécurité

L’un des défis majeurs de la transformation numérique est la sécurité des données

Une formation des salariés à la sécurité informatique, plus largement à la cybersécurité, permet de les sensibiliser aux bonnes pratiques : gestion des mots de passe, protection des données sensibles, prévention des attaques par phishing, etc.

Ainsi, chaque collaborateur formé à la cybersécurité contribue à réduire le risque de piratage et d’autres menaces numériques.

6. Améliorer la gestion du changement

La transformation numérique engendre souvent des changements majeurs dans l’organisation du travail. Ceux-ci peuvent être mal perçus ou redoutés par les collaborateurs, qui peuvent avoir des difficultés à accepter les nouvelles méthodes de travail ou les outils numériques. 

Une formation adéquate permet d’accompagner ce changement et d’aider les salariés à s’adapter à une nouvelle façon de travailler.

Comment mettre en place une formation efficace pour vos salariés ?

1. Évaluer les besoins en formation

La première étape pour réussir la formation des salariés est de procéder à un audit des compétences

Il permettra d’identifier les lacunes et de déterminer les domaines dans lesquels les salariés doivent être formés. 

Par exemple, certains peuvent avoir besoin de se familiariser avec des outils de collaboration en ligne, tandis que d’autres nécessiteront une formation plus technique sur l’IA ou la gestion des données.

2. Choisir des formats de formation adaptés

Il existe plusieurs formats de formation

  • Le e-learning : 100 % à distance. Par exemple, avec des webinars, micro-capsules vidéos, classes virtuelles… Les enseignements peuvent être synchrone (tous les apprenants sont réunis au même moment) ou asynchrone (les apprenants se connectent quand ils le souhaitent).
  • Le présentiel : par exemple des ateliers dans les locaux de l’entreprise.
  • Le blended learning : un mode de formation hybride qui alterne présentiel et distanciel.

Le choix de la méthode dépend des objectifs de formation, du nombre de salariés à former, et de la culture d’entreprise. 

Une formation de qualité assure une montée en compétence progressive et régulière. Fitec est un organisme de formation réputé et reconnu par l’État. De nombreuses formations sont proposées pour accompagner la transformation digitale. 

Par exemple : 

Bon à savoir : vous pouvez inscrire ces formations dans le cadre du plan de développement des compétences de l’entreprise. Vous pouvez aussi en proposer en dehors.

3. Mesurer l’impact de la formation

Il est important de suivre les résultats des formations pour évaluer leur efficacité

Des indicateurs de performance (KPI), tels que l’amélioration de la productivité, la satisfaction des salariés, ou l’adoption des nouveaux outils, permettent de mesurer le succès des programmes de formation. 

Le cas échéant, vous devrez ajuster le contenu ou la méthode de formation pour mieux répondre aux besoins des salariés.

Transformation digitale, ce qu’il faut retenir

La transformation numérique est aujourd’hui incontournable pour toutes les entreprises qui souhaitent rester compétitives et évoluer dans un monde en constante mutation. L’adoption des technologies numériques impacte non seulement les processus internes, mais redéfinit également la manière dont les entreprises interagissent avec leurs clients. L’intégration de services digitaux, l’exploitation des données et l’utilisation du cloud permettent d’améliorer l’expérience client tout en optimisant l’efficacité des opérations internes.

Pour réussir cette transformation, il est essentiel que les employés soient formés aux nouvelles technologies, qu’ils maîtrisent les outils numériques et qu’ils puissent s’adapter aux évolutions du travail. Une stratégie de formation continue permet de garantir une gestion fluide de cette transition et de renforcer la compétitivité de l’entreprise sur le long terme. Ainsi, en intégrant les technologies digitales dans votre stratégie, vous ouvrez la voie à de nouvelles opportunités, tant pour vos clients que pour vos employés, et assurez le succès de votre entreprise à l’ère numérique.

Une main-d’œuvre compétente et formée est l’un des principaux atouts pour réussir dans un monde numérique en constante évolution.

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Certification SAP : pourquoi et comment se former pour booster sa carrière ?

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Vous souhaitez acquérir des connaissances en SAP ? C’est une excellente idée car celles-ci vont constituer un véritable tremplin pour votre carrière. Si vous êtes étudiant ou salarié en reconversion, la certification SAP peut être une solution pour acquérir des compétences recherchées en gestion et intégration des systèmes d’information. De plus, les professionnels certifiés SAP sont donc très recherchés. Certification SAP : pourquoi et comment se former pour booster votre carrière ? Découvrez nos réponses.

Manager qui donne des explications à son équipe

Qu’est-ce qu’une certification SAP ?

SAP, ça veut dire quoi ?

SAP est un sigle. Il signifie Systemanalyse Programmentwicklung. C’est le nom allemand d’une entreprise.

En français, la traduction littérale est développement de programmes d’analyse de système.

SAP, à quoi ça sert ?

L’entreprise SAP propose de nombreux logiciels ERP (Enterprise Resource Planning). Chaque logiciel ERP se nomme par le nom de l’entreprise : SAP R/2, SAP R/3, SAP S/4HANA.

Un ERP est un système d’information. Il permet aux entreprises qui souhaitent digitaliser leurs processus de centraliser et d’automatiser les activités quotidiennes. Mais aussi d’améliorer la gestion des opérations en offrant une vue centralisée et en temps réel de toutes les données de l’entreprise.

Ses atouts sont nombreux : 

  • Il améliore l’efficacité de l’entreprise.
  • Il aide à la prise de décision.
  • Il simplifie les tâches quotidiennes des équipes.
  • ll optimise la gestion des processus métiers.

Tous les services d’une entreprise peuvent utiliser un module SAP : 

  • Les ressources humaines (RH).
  • La finance.
  • La logistique.
  • Les achats.
  • Etc.

Un SAP est alors un outil incontournable, qu’il vaut mieux savoir maîtriser pour se donner les meilleures chances d’améliorer son employabilité.

La définition d’une certification SAP

Une certification SAP vient attester de compétences acquises en SAP

Pourquoi obtenir une Certification SAP ?

Une certification SAP est votre précieux sésame pour les recruteurs. Elle assure vos connaissances sur le logiciel. Autrement dit, elle vous permet de trouver plus facilement du travail

La certification SAP est reconnue à l’international. Elle vous assure un bel avenir professionnel.

Quels sont les types de certifications SAP ?

SAP propose une large gamme de certifications adaptées à différents niveaux et spécialités. Vous pouvez donc choisir des certifications SAP en fonction de vos intérêts et de vos objectifs de carrière.

Il existe un logiciel SAP par ERP. C’est la grande force de l’entreprise puisqu’elle s’adapte à tous les secteurs d’activités. 

Voici quelques exemples de certification parmi les 92 existantes : 

  • SAP Commerce Cloud.
  • SAP expérience client.
  • SAP développeur d’intégration.
  • Chef de projet SAP.
  • SAP administrateur de données.
  • Etc.

Il existe 3 types de certification :

  • Certification débutant : elle couvre les connaissances fondamentales requises pour devenir consultant SAP et intervenir dans la gestion des processus métiers.
  • Certification intermédiaire : elle approfondit la certification de base. 
  • Certification professionnelle : elle permet une compréhension plus détaillée des solutions SAP.

Comment se former pour obtenir une Certification SAP ?

Fitec, organisme de formation reconnu, vous propose 5 formations SAP pour bien vous préparer aux certifications : 

Elles présentent plusieurs avantages : 

  • Une formation de 90 heures, sur 3 mois..
  • Plusieurs sessions de formation dans l’année.
  • Une plateforme de cours en ligne accessible 24h/24 et 7j/7 durant les 3 mois (Learning Up de SAP).
  • L’accompagnement d’un tuteur Fitec tout au long de la formation, expérimenté et certifié dans les solutions SAP depuis 20 ans.

Les formations Fitec se déroulent en présentiel ou à distance. Un format blended learning est aussi possible. Les modules de cours à distance sont synchrones, ils requièrent la présence de tous au même moment. 

Bon à savoir : il existe aussi une plateforme d’apprentissage payante proposée par l’entreprise SAP.

Comment obtenir une certification SAP ?

Étape 1 : chercher la bonne certification SAP

Vous l’identifierez en fonction de vos objectifs professionnels.

Sélectionnez la certification qui est alignée avec votre projet de carrière.

Étape 2 : préparer l’examen

Pour se donner toutes les chances d’obtenir l’examen, une formation SAP est préférable car le logiciel est complexe.

Étape 3 : passer l’examen

Il se compose de 40 à 80 questions.

Étape 4 : obtenez la certification

Si vous réussissez l’examen, vous obtiendrez la certification SAP.

Bon à savoir : pour rester certifié, vous devrez mettre régulièrement vos compétences à jour.

Combien coûte une Certification SAP ?

SAP propose une tarification par passage d’examen SAP. Il propose également un abonnement.

Plateforme d’apprentissage SAP (SAP Learning Hub) : environ 1 300 euros.

  • Modules de formation.
  • 4 tentatives d’examen de certification SAP par an et un accès à l’habilitation et à l’évaluation pour maintenir la validité des certifications.

Le prix d’une formation en SAP pour bien préparer l’examen final varie selon l’organisme qui la propose. Chez Fitec : 

  • Le coût pédagogique de la formation SAP End-User Finance est de 4 200 euros HT*.
  • La formation SAP Finance est accessible à partir de 4 900 euros TTC*. 

(* Tous ces prix sont susceptibles d’évolution)

Bon à savoir : pensez à votre CPF pour financer votre changement de métier.

Qui peut obtenir une Certification SAP ?

Aucun diplôme spécifique n’est nécessaire pour obtenir une certification SAP. Mais des connaissances de base dans le domaine visé (finance, logistique, etc.) sont utiles.

Elle s’adresse aussi bien aux étudiants qui démarrent leurs études qu’aux salariés en reconversion professionnelle qui souhaitent se tourner vers l’un des métiers porteurs de l’T et du numérique.

Bon à savoir : les formations SAP proposées par Fitec requièrent a minima un Bac +4 pour la formation SAP End-User Finance et la certification professionnelle ou un diplôme de niveau 5 (bac+2) ou niveau 6 (bac+3) dans le domaine du management de projets ou de l’informatique et au moins 1 année d’expérience professionnelle dans ces secteurs pour la formation Consultant SAP Finance.

Certification SAP, ce qu’il faut retenir

Obtenir une certification SAP est une étape clé pour développer des compétences recherchées dans la gestion des processus métiers et l’intégration des systèmes d’information. Grâce aux multiples solutions SAP, notamment SAP HANA et les applications en cloud, les professionnels peuvent maîtriser des outils innovants pour répondre aux besoins des entreprises modernes.

Que vous soyez étudiant, en reconversion ou déjà en poste, une formation SAP adaptée vous prépare efficacement à l’examen pour devenir SAP Certified Associate ou même consultant. Le portail SAP Learning et les formations proposées par Fitec permettent de se former aux différentes certifications, en accédant aux dernières avancées des solutions SAP.

Investir dans une certification SAP est une opportunité unique de participer activement à la transformation digitale des entreprises, en devenant un acteur clé de l’application et de l’optimisation des solutions SAP.

N’attendez plus pour vous former et prendre un avantage compétitif !

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Les 6 meilleurs langages de programmation en 2025

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Vous souhaitez faire carrière dans le développement ? Python, PHP, Java, C++, ça vous parle ? Pour vous donner les meilleures chances de trouver un emploi en 2025, choisir le bon langage de programmation est une étape importante. Certains langages se démarquent plus que d’autres et sont particulièrement recherchés par les recruteurs. Voici notre sélection des 6 meilleurs langages de programmation à maîtriser en 2025 pour répondre aux besoins actuels et futurs des développeurs et des entreprises.

Collègue entrain de faire un montage

1. Python : l’incontournable langage de programmation pour l’IA et le machine learning

Python reste un pilier du développement web. Sa simplicité d’utilisation et son écosystème riche le placent comme le langage à maîtriser sur le marché du travail. Il s’impose naturellement pour le développement d’applications web.

Sa popularité n’est pas prête de s’effriter. Il est devenu le langage incontournable pour l’intelligence artificielle (IA) et le Machine Learning (ML). 

Des frameworks comme TensorFlow, PyTorch et Scikit-learn facilitent la création de modèles complexes.

Ses petits plus : 

  • Une immense communauté de développeurs et de ressources.
  • Des librairies adaptées à presque tous les domaines : analyse de données, automatisation, web (Django, Flask).

2. Rust : le langage de programmation qui garantit performances et sécurité

Rust est le langage de programmation reconnu pour ses performances proches du C++. Mais avec une sécurité mémoire inégalée grâce à son système de gestion de la mémoire par ownership

Il est de plus en plus utilisé dans les domaines du Cloud computing, du web et des systèmes embarqués.

Ses petits plus : 

  • Une sécurité mémoire qui élimine les erreurs courantes comme les dépassements de tampon.
  • Rust est idéal pour les outils performants, comme WebAssembly, et les systèmes critiques où robustesse et rapidité sont nécessaires.

3. Go (Golang) : Le choix du cloud computing

Conçu par Google, Go est optimisé pour le Cloud computing et les environnements modernes. Il est à l’origine de technologies incontournables comme Docker et Kubernetes, ce qui en fait un favori des développeurs DevOps et back-end.

Pourquoi Go est-il si apprécié ?

  • Pour sa syntaxe simple et sa courbe d’apprentissage rapide.
  • Pour ses bonnes performances et la gestion native des routines concurrentes.

Go va continuer de briller en 2025 dans les services Cloud, les microservices et les outils DevOps, grâce à son efficacité et sa fiabilité.

4. TypeScript : Le langage de programmation d’avenir pour le développement fullstack

TypeScript, un superset de JavaScript, offre un typage statique qui améliore la robustesse des applications. En 2025, il est incontournable pour le développement full-stack : il combine la flexibilité de JavaScript à une meilleure sécurité de code.

Ses petits plus : 

  • Une compatibilité totale avec JavaScript et son adoption par les frameworks populaires (Angular, React, Vue).
  • Son grand écosystème et son utilisation dans des frameworks comme Next.js et NestJS.

TypeScript est parfait pour les applications front-end et back-end, notamment dans des environnements complexes nécessitant une forte maintenabilité.

5. Java : La solidité du langage de programmation pour l’entreprise

Langage historique, Java reste incontournable dans le monde de l’entreprise. Avec son écosystème établi, comme Spring, et ses outils modernes, il s’adapte parfaitement aux nouvelles exigences du Cloud computing grâce à des solutions comme GraalVM et Quarkus.

Java reste le langage de programmation de confiance des développeurs : 

  • Support à long terme (LTS) et forte stabilité.
  • Modernisation constante, avec des performances accrues et des fonctionnalités avancées.

Java excelle dans le développement d’applications d’entreprise, les solutions cloud et les systèmes complexes à grande échelle.

6. Kotlin : La modernité au service du mobile

Kotlin a conquis les développeurs grâce à son interopérabilité avec Java et sa syntaxe moderne. Adopté par Google comme langage principal pour le développement Android, il est de plus en plus utilisé dans d’autres domaines grâce à sa flexibilité.

Ses petits plus : 

  • Code concis et lisible, ce qui en réduit les erreurs.
  • Parfait pour le mobile, mais également pour les applications back-end grâce à des frameworks comme Ktor.

Kotlin est le choix évident pour le développement Android, mais il se développe également dans le web et les solutions multiplateformes (Kotlin Multiplatform).

Où apprendre les meilleurs langages de programmation ?

Pour apprendre à coder dans les meilleures conditions et se donner toutes les chances de taper dans l’œil d’un recruteur, les études informatiques sont un vrai plus. 

Une formation reconnue par l’État vous délivre un précieux sésame de l’emploi. La certification que vous obtiendrez à l’issue du cursus de formation garantit à l’employeur que vous disposez de toutes les compétences nécessaires pour coder. 

À vous de choisir la formation qu’il vous faut ! 

L’École PMN, Passerelle des Métiers du Numérique, propose des formations de qualité pour devenir développeur

Découvrez comment bien choisir son Mastère en développement.

Langage de programmation, ce qu’il faut retenir

En 2025, le paysage des langages de programmation est marqué par l’équilibre entre innovation, robustesse et adoption croissante. Que ce soit pour des projets en IA avec Python, des systèmes critiques avec Rust ou des solutions Cloud avec Go, chaque langage offre des avantages uniques adaptés à des besoins spécifiques.

Pour vous former sur le bon langage de programmation : 

  • Réfléchissez aux domaines qui vous intéressent : développement web, mobile, IA, Cloud, DevOps, systèmes embarqués…
  • En début de carrière de développeur, priorisez l’apprentissage d’un langage populaire et polyvalent pour vous ouvrir plus d’opportunités professionnelles.
  • Consultez les offres d’emploi en informatique et identifiez les langages de programmation recherchés dans les secteurs qui vous intéressent.
  • Les développeurs maîtrisent souvent plusieurs langages. Apprenez-en un à la fois, mais soyez ouvert à en explorer d’autres à mesure que vous progressez dans votre carrière.

Les métiers du développement informatique sont nombreux et porteurs, lancez-vous ! 

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Salaire d’un tech en 2025, quels métiers gagnent le plus ?

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Le monde de la tech, ou de la technologie, évolue vite. Pour répondre aux besoins des entreprises, de nouveaux métiers émergent associés à des compétences très prisées. Les métiers de la tech sont variés et hyperspécialisés. Par exemple, ils demandent des connaissances en IA (intelligence artificielle), en cybersécurité, en cloud, en développement ou en domotique. Les salaires sont à la mesure des exigences des recruteurs : élevés. Vous hésitez à vous lancer dans la tech ? Si la rémunération est un point important pour votre carrière, ces métiers satisferont vos exigences. Cerise sur le gâteau, les experts technologiques sont particulièrement recherchés. Salaire d’un tech en 2025, quels métiers gagnent le plus ?

Collègue satisfaite de son travail

* Les salaires proposés dans cet article proviennent de l’Étude de rémunérations 2025 publiée par le cabinet de recrutement Michael Page. Toutes les rémunérations affichées dans cet article sont exprimées en milliers d’euros (k€). Elles correspondent au salaire moyen brut annuel fixe à Paris et en région parisienne. Dans les autres villes et régions françaises, les rémunérations proposées pour un junior et un senior sont inférieures (de – 5 à – 20 % selon les régions).

Quels sont les salaires des tech qui occupent un poste de direction ?

Après plusieurs années d’expérience, l’évolution naturelle des métiers vous oriente vers un poste de direction. Généralement, à partir de 10 ans d’expérience et plus. Un profil junior ne peut pas y accéder directement.

Pour un emploi senior à responsabilités dans la tech, la rémunération est conséquente. Elle démarre aux alentours de 65 000 euros par an pour un responsable informatique.

Fonction Salaire
Directeur des SI Entre 90 et 250 000 euros
Directeur des études Entre 80 et 150 000 euros
CTO Entre 80 et 150 000 euros
Chief data officer Entre 80 et 150 000 euros
Directeur de la sécurité des systèmes d’information Entre 80 et 110 000 euros

Tableau extrait de l’Étude de rémunération citée plus haut

Quels sont les salaires des tech qui travaillent dans les infrastructures des entreprises ?

Technicien support informatique, Administrateur systèmes et réseaux, Architecte Cloud… Les métiers des infrastructures en entreprise sont variés et essentiels pour le bon fonctionnement des systèmes technologiques et l’organisation des ressources. Ils couvrent la gestion des serveurs, des réseaux, de la sécurité informatique, ainsi que l’infrastructure cloud et le support utilisateur.

Les salaires des métiers d’infrastructure en entreprise évoluent généralement de manière positive, notamment en raison de la transformation numérique et de la demande croissante en sécurité, en gestion cloud, et en disponibilité des systèmes.

Fonction Salaire pour moins de 2 ans d’ancienneté Salaire entre 2 et 5 ans d’ancienneté Salaire entre 5 et 10 ans d’ancienneté Salaire pour plus de 10 ans d’ancienneté
Technicien support informatique 23 – 28  25 – 35  35 – 40  40 – 45
Administrateur systèmes/réseaux 35 – 40 40 – 45 45 – 55 >55
Ingénieur DevOps 45 – 55 55 – 70 70 – 85  >85
Ingénieur cloud 45 – 55 55 – 70 70 – 85 >85
Architecte cloud 65 – 75 75 – 90 90 – 110 >110
Responsable support/helpdesk 40 – 45 45 – 55 55 – 70 70 – 90
Architecte technique 65 – 75 75 – 85  85 – 100 100 – 120

Tableau extrait de l’Étude de rémunération citée plus haut

Quels sont les salaires des tech qui travaillent dans la data et l’IA ?

Les métiers de la data et de l’intelligence artificielle (IA) sont parmi les plus prisés dans le secteur tech, et les salaires y sont souvent très attractifs. La demande croissante pour des compétences avancées en data science, en machine learning, et en IA génère une hausse significative des rémunérations

Les salaires des métiers de la data et de l’IA connaissent une croissance soutenue, motivée par la demande en hausse dans de nombreux secteurs comme la finance, la santé, le commerce et les technologies.

Voici un aperçu des principaux postes et des fourchettes salariales associées.

Fonction Salaire pour moins de 2 ans d’ancienneté Salaire entre 2 et 5 ans d’ancienneté Salaire entre 5 et 10 ans d’ancienneté Salaire pour plus de 10 ans d’ancienneté
Développeur BI 38 – 45 45 – 55 55 – 70 70 – 80
Data engineer/Data scientist 42 – 50 50 – 60 60 – 75  >75
Data analyst 40 – 45 45 – 55 55 – 70 70 – 80
Architecte data 75 – 85 85 – 95 95 – 110 110 – 150+
Ingénieur IA/Développeur IA 45 – 50 50 – 60 60 – 75 75 – 90
Data protection officer 40 – 45 45 – 55 55 – 70 70 – 80+
Machine learning engineer 40 – 50 50 – 60 60 – 75 75 – 90+

Tableau extrait de l’Étude de rémunération citée plus hautLes métiers de la donnée vous attirent ? Fitec vous propose une formation Data analyst courte, de 3 mois.

Quels sont les salaires des tech qui travaillent dans la cybersécurité ?

Les métiers de la cybersécurité sont aujourd’hui très bien rémunérés, en raison de la demande croissante pour protéger les systèmes d’information et les données contre les cyberattaques.

Les salaires dans la cybersécurité connaissent une évolution rapide en raison de plusieurs facteurs clés : la pénurie de talents qualifiés, l’augmentation des cyberattaques et la nécessité pour chaque entreprise de renforcer ses infrastructures de sécurité. 

Fonction Salaire pour moins de 2 ans d’ancienneté Salaire entre 2 et 5 ans d’ancienneté Salaire entre 5 et 10 ans d’ancienneté Salaire pour plus de 10 ans d’ancienneté
Pentester 42 – 50 45 – 60 60 – 75 >80
Analyste sécurité 42 – 55 55 – 70 70 – 80 >80
Ingénieur cybersécurité 42 – 55 55 – 70 70 – 80 >80
Chef de projet cybersécurité 45 – 55 55 – 65 65 – 80 >80
Architecte sécurité et cybersécurité 65 – 75 70 – 90 80 – 100 >100
Responsable de la sécurité et des systèmes d’information 65 – 75 70 – 90 80 – 100 >100
Responsable risques et gouvernance 70 – 80 75 – 90 80 – 100 >100

Tableau extrait de l’Étude de rémunération citée plus haut

Vous souhaitez explorer cette voie ? Fitec propose une formation d’analyste cybersécurité de 3 mois. 

Quels sont les salaires des tech qui travaillent dans les applicatifs et les produits ?

Les métiers dans les applicatifs et les produits sont variés et regroupent des profils allant des développeurs aux chefs de produit en passant par les designers d’expérience utilisateur (UX). Ces rôles sont essentiels pour le développement, la gestion et l’optimisation des applications et produits numériques. 

Les salaires dans les métiers des applicatifs et des produits continuent d’évoluer de manière significative, influencés par des tendances technologiques, des méthodes de travail et des compétences spécifiques.

Voici un aperçu des salaires pour chaque métier et des facteurs qui influencent leur évolution.

Fonction Salaire pour moins de 2 ans d’ancienneté Salaire entre 2 et 5 ans d’ancienneté Salaire entre 5 et 10 ans d’ancienneté Salaire pour plus de 10 ans d’ancienneté
Technicien support applicatif 28 – 35 35 – 40 40 – 45 45 – 55
Tech Lead 50 – 60 60 – 75 70 – 100 >90
Business analyst 40 – 45 45 – 50 50 – 65 >65
Product owner 40 – 45 45 – 55 55 – 70 70 – 90
Scrum master 45 – 50 50 – 65 65 – 75 75 – 90
Chef de projet SAP 45 – 50 50 – 70 65 – 90 80 – 100
Architecte logiciel 60 – 70 70 – 80 80 – 95 >95

Tableau extrait de l’Étude de rémunération citée plus haut

Vous avez envie de suivre une formation SAP ? Fitec vous propose : 

Le produit vous intéresse ? Suivez une formation de Product owner ! Vous disposerez de toutes les compétences nécessaires pour réussir votre entretien d’embauche de PO.

Quels sont les postes dans la tech qui payent le plus ?

Vous souhaitez connaître les métiers les mieux payés de l’IT et du numérique ? Voici les 5 postes qui se démarquent particulièrement : 

  • DSI.
  • Ingénieur cybersécurité.
  • Architecte technique.
  • Consultant SAP.
  • Devops.

Quelle est l’évolution salariale constatée sur les métiers de la tech ?

Sur les 12 derniers mois, ce qui correspond à l’année 2024, il est noté une augmentation des salaires de 4 % sur les métiers de la tech.

Quelle est l’évolution possible  des salaires dans la tech en 2025 ?

Les métiers de la tech font face à une pénurie de talents formés et disponibles. En conséquence, les entreprises éprouvent des difficultés de recrutement. Pour attirer les candidats, elles sortent leurs meilleurs atouts : des conditions de travail flexibles et une rémunération intéressante.

L’hyperspécialisation des compétences attendues sur les postes tech renforcent la dynamique des hauts salaires. Plus les experts de la tech sont difficiles à approcher, plus grands seront les salaires affichés dans les offres d’emploi.

La dynamique ne risque pas de s’éteindre en 2025. La transformation digitale amorcée par les entreprises ne va pas s’arrêter en si bon chemin. Les employeurs sont maintenant en phase de consolidation de leurs infrastructures mais aussi de leurs équipes. De plus, les nouveaux enjeux de cybersécurité et de stockage des données mobilisent tous les employeurs au même moment et le besoin en main-d’œuvre est donc colossal. 

Pour preuve, voici le Top 5 des profils tech les plus recherchés : 

Si vous hésitiez à vous lancer dans une formation tech, cet article a dû vous rassurer sur les débouchés possibles, les embauches et les rémunérations associées. Reste à dénicher la bonne formation ! 

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10 infos essentielles sur le blended learning (ou apprentissage mixte)

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Vous avez décidé de suivre une formation continue cette année ? C’est une excellente idée pour maintenir votre employabilité à son meilleur niveau. Reste à choisir le format de formation le plus compatible avec votre vie professionnelle et votre vie personnelle. La digitalisation des processus bénéficie aussi au monde de la formation professionnelle. On parle alors de digital learning. Pour s’adapter à tous les rythmes, plusieurs formules coexistent à côté de la classique formation en présentiel. Le blended learning, ou apprentissage mixte, en fait partie. Qu’est-ce que ce format de formation ? Définition, avantages, profil des apprenants, coût… Découvrez les 10 infos à ne pas louper sur la formation en blended learning pour vous permettre de faire les bons choix.

Apprenant heureux de sa formation sur son ordinateur en classe

1. Blended learning, ça veut dire quoi ?

Blended learning est un terme anglais. Littéralement, il peut être traduit en français par apprentissage mixte.

2. Quelle est la définition du blended learning ?

Le blended learning est un format de formation hybride. Il se caractérise par des phases de formation en présentiel et à distance.

  • En présentiel : les apprenants sont physiquement présents dans une salle de classe de l’organisme de formation. Ils suivent les cours face au formateur.
  • En distanciel (ou e-learning) : les apprenants ne sont pas physiquement présents au moment des cours. Ils les suivent en ligne depuis l’endroit qu’ils souhaitent. Le temps d’enseignement peut alors être : 
    • Synchrone : tout le monde est connecté au même moment.
    • Asynchrone : chacun se connecte à son rythme, quand il le souhaite.

Les modules de formation en e-learning et les enseignements dispensés en présentiel ne sont pas obligatoirement équivalents en temps. Le formateur peut décider de proposer plus ou moins de cours avec une présence physique ou favoriser le e-learning. À lui de voir ce qui est le plus adapté pour ses enseignements. 

Le blended learning est tout aussi compatible avec des formations courtes (micro-learning) ou des formations longues. 

3. Quelle est la différence entre le blended learning et le e-learning ?

Bien que le blended learning et le e-learning soient tous deux des termes anglophones et des modes de formation, leurs ressemblances s’arrêtent ici. 

Une formation en e-learning est 100 % en ligne. Les cours sont suivis depuis un écran d’ordinateur. Durant tout le parcours, apprenants et formateurs ne se rencontrent pas physiquement. La formation est entièrement digitale.

En revanche, un apprentissage en blended learning alterne cours en présentiel et cours en e-learning.

Bon à savoir : à côté du blended learning et du e-learning, la formation classique en présentiel coexiste toujours. Elle est particulièrement nécessaire lorsque des savoirs s’acquièrent par la manipulation d’outils.

4. Qui peut suivre un apprentissage mixte (blended learning) ?

Tout le monde

Ce type d’apprentissage peut concerner : 

Le blended learning permet d’accueillir dans la formation tous ceux qui pourraient avoir des contraintes d’emploi du temps ou d’éloignement géographique. En limitant la présence physique, il peut être plus facile de s’organiser. 

5. Pourquoi suivre une formation en blended learning : les avantages

Les apprentissages hybrides ont de réels atouts pour tous les apprenants : 

  • Ils permettent de mieux s’organiser en limitant les déplacements pour se rendre à la formation. Ainsi, le blended learning est compatible avec un métier en parallèle ou une vie de famille. 
  • Ils permettent de maîtriser les dépenses puisque les déplacements coûteux sont limités (train, essence, abonnement divers).
  • Ils permettent d’apprendre à son rythme en maintenant les cours en ligne disponibles à tout moment.
  • Ils maintiennent les interactions avec le formateur, mais aussi avec le groupe d’apprenant.
  • Ils s’adaptent à tous les non digital native. La formation mixte permet à l’apprenant de comprendre la prise en main de la plateforme de formation grâce à une démonstration faite par le tuteur.

6. Quels sont les inconvénients du blended learning ?

L’apprentissage mixte nécessite une certaine discipline pour les périodes de cours à distance. Ce type de formation n’est donc pas adapté pour tous ceux qui ont du mal à se motiver seul devant un écran d’ordinateur et qui préfère la présence physique d’un formateur.

7. Quel organisme de formation propose du blended learning ?

Le blended learning est un format de formation qui a le vent en poupe auprès des collaborateurs des entreprises. Il vous sera proposé pour de nombreuses formations.

Parcourez les modalités de la formation choisie. Vous pourrez voir si elle est proposée en présentiel, à distance ou sous un format hybride.

Fitec est un organisme de formation reconnu par l’État spécialisé dans le digital, la tech et l’IT. La plupart de ses formations sont proposées au format hybride

8. Le blended learning, combien ça coûte ?

Le prix d’une formation est libre. Il est fixé indépendamment par les organismes de formation.

Renseignez-vous directement auprès d’eux pour connaître le prix d’une formation en blended learning.

Bon à savoir : votre entreprise dispose peut-être d’un programme de formation de ses collaborateurs ? Renseignez-vous auprès de votre service des ressources humaines pour voir comment financer votre parcours de formation. Vous pouvez aussi utiliser votre CPF pour le payer.

9. Combien de temps dure une formation en blended learning ?

Format court ou format long, chaque organisme détermine seul la durée de formation nécessaire pour acquérir les fondamentaux. 

Consultez les programmes de formation pour connaître leur durée et sélectionner celui qui correspond le plus à vos attentes et à votre disponibilité.

10. Quels métiers sont compatibles avec un apprentissage mixte ?

Tous les métiers porteurs du numérique et de l’IT peuvent être suivis en blended learning.

Par exemple : 

Blended learning, ce qu’il faut retenir

Le blended learning (ou apprentissage mixte) représente une solution de formation flexible et adaptée aux besoins variés des apprenants modernes. 

En combinant formation en présentiel et e-learning, ce format hybride permet d’accéder aux bénéfices des interactions directes avec les formateurs tout en profitant de la liberté d’apprendre en ligne, selon son rythme et ses disponibilités. 

Cette formule est idéale pour ceux qui cherchent à développer leurs compétences (hard skills et soft skills) tout en conciliant vie professionnelle et personnelle et en maintenant une qualité pédagogique reconnue. Que vous soyez salarié, étudiant ou en reconversion professionnelle, le blended learning offre une alternative efficace pour optimiser votre parcours de formation. 

N’hésitez pas à explorer les offres d’organismes spécialisés et à consulter le contenu des programmes pour trouver la formation en blended learning qui correspondra le mieux à vos objectifs pédagogiques et professionnels.

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Comment améliorer votre employabilité tout au long de votre carrière ?

Date :

Les compétences d’un jour peuvent être obsolètes le lendemain ! Cette situation est particulièrement vraie dans un contexte de transformation digitale avancée des entreprises. Les outils numériques se perfectionnent vite, les méthodes de travail se digitalisent et le profil type du candidat idéal évolue à la vitesse de l’éclair. Pour chaque salarié, maintenir à jour l’ensemble des savoirs acquis devient alors fondamental dans un marché en constante évolution technologique. Une employabilité au meilleur niveau assure au collaborateur un maintien dans l’emploi non négligeable. Plusieurs bonnes pratiques peuvent être mises en place pour vous permettre de rester employable. Quelles sont-elles ? Découvrez tous nos conseils pour maintenir votre valeur professionnelle et votre intérêt aux yeux des employeurs, d’année en année.

Apprenants à l'écoute pour une ouverture_

1er conseil pour une employabilité au top : mettre en place une veille efficace

Rien de mieux que l’anticipation pour ne pas voir ses compétences techniques (hard skills) et comportementales (soft skills) périmées du jour au lendemain. Pour ne pas se laisser dépasser par les évolutions dans son secteur d’activité, il est essentiel de mettre en place une veille efficace.

Celle-ci peut concerner différents éléments : 

  • Les dernières tendances.
  • Les évolutions législatives.
  • Les nouveaux outils.
  • Les nouvelles méthodes de travail.
  • Les pratiques des entreprises concurrentes.

En tant que salarié, votre objectif final est d’identifier les compétences qui vont vous manquer pour rester 100 % opérationnel et employable. Il peut s’agir de vos savoir-faire mais aussi de vos savoir-être.

Pour ne rien louper des (r)évolutions à venir, il existe plusieurs méthodes de veille active : 

  • Suivre les blogs ou les comptes sur les réseaux sociaux des collaborateurs inspirants de votre secteur d’activité. Sur LinkedIn par exemple, on parle des Top Voices.
  • Suivre les pages Entreprises des organisations référentes dans votre secteur.
  • S’abonner aux newsletters des sites de référence dans votre domaine.
  • Lire régulièrement les offres d’emploi pour voir les compétences demandées par les chargés de recrutement. 
  • Participer à des conférences métiers.
  • Rejoindre des associations professionnelles ou des groupes d’intérêt pour élargir son réseau.

Votre veille doit être régulière pour rester au fait des changements du marché de l’emploi. Adopter une attitude proactive est la clé du succès !

2e conseil : se former tout au long de sa carrière

Identifier les évolutions du marché à venir vous permet de mettre en lumière les compétences qui vont vous manquer à plus ou moins long terme pour maintenir votre employabilité à son plus haut niveau. 

Pour que votre CV rivalise tout aussi bien avec ceux des candidats fraîchement sortis d’études, vous devez le maintenir à jour. Il doit contenir les savoirs attendus pour exceller sur votre métier. 

La formation continue est alors votre meilleure alliée. Elle est un véritable droit pour tous les salariés. 

Sélectionner la formation qui répond aux exigences de votre secteur et à vos objectifs de carrière. Lisez bien le programme et les objectifs pédagogiques avant de vous inscrire.

Votre formation doit aussi être compatible avec votre emploi du temps. Plusieurs modes de formation existent : 

  • En initial : 100 % de cours théoriques : 
    • Format court (micro-learning).
    • Format long.
    • Cours synchrone ou asynchrone.
  • En alternance : période théorique en cours et période pratique en entreprise.

La digitalisation touche aussi le monde de la formation professionnelle. Les formations peuvent être proposées à distance, à l’aide d’outils numériques performants. Mais aussi en présentiel ou en blended learning (mix présentiel et distanciel).

Votre employeur peut intégrer votre formation dans le cadre de son plan de développement des compétences. Elle sera alors prise en charge financièrement par l’entreprise. Celle-ci peut aussi vous proposer un parcours de formation spécifique pour vous accompagner dans de nouvelles fonctions ou responsabilités.

Vous pouvez aussi financer votre cursus vous-même et le suivre sur votre temps libre (ou sur votre temps de travail avec l’accord de l’employeur). Pensez à votre CPF ! Chaque collaborateur cumule 500 euros par année de travail, avec un plafond maximum de 5 000 euros.

Veillez à toujours choisir une formation reconnue par l’État. Elle est un gage d’employabilité. Pour le vérifier, consultez la fiche descriptive de la formation sur le site dédié, publié par France Compétences. 

Après avoir suivi votre formation, mettez à jour votre CV en indiquant le diplôme ou la certification obtenue. Mais aussi les compétences acquises.

Bon à savoir : Fitec propose de nombreuses formations certifiantes, de 57 jours, pour vous reconvertir vers les métiers du numérique, à travers l’alternance, l’upskilling et le reskilling. Renseignez-vous ! 

3e conseil : mettre en valeur ses compétences transversales et transversales

Pour rester compétitif sur le marché de l’emploi, ne négligez pas vos compétences transférables et transversales. Ce sont toutes vos connaissances acquises au cours de votre carrière qui peuvent être utiles : 

Celles-ci permettent de vous démarquer des autres candidats. Elles sont un gage précieux pour votre employabilité puisqu’elles étoffent votre profil collaborateur au-delà de votre métier. 

Par exemple, les compétences générales comme la communication, la gestion de projets, le leadership sont prisées dans de nombreux métiers. Mentionnez-les sur votre CV, elles vous seront utiles dans votre parcours professionnel.

4e conseil : démontrer sa capacité d’adaptation

Dans un environnement professionnel en constante évolution, la capacité d’adaptation est devenue une compétence incontournable pour les salariés. 

Les entreprises valorisent les collaborateurs capables de faire face aux changements rapides, qu’il s’agisse de nouvelles technologies, de méthodes de travail ou même de restructurations internes. En montrant votre flexibilité, vous renforcez votre employabilité en prouvant que vous pouvez vous ajuster aux exigences fluctuantes du marché.

En poste, acceptez les nouvelles missions et les projets transverses que l’on vous propose. Mais aussi une mobilité interne ou une promotion. Même s’ils sortent de votre zone de confort. Vous démontrerez votre ouverture d’esprit et votre motivation à évoluer. 

Si vous recherchez un emploi, maîtriser les nouvelles technologies et les outils digitaux vous rendra plus agile et apte à répondre aux attentes de l’entreprise. Cette capacité à vous projeter dans l’avenir et à vous adapter rapidement aux évolutions démontre non seulement votre flexibilité, mais également votre engagement à rester compétitif dans le développement de votre carrière professionnelle.

Employabilité et carrière professionnelle, ce qu’il faut retenir

Les entreprises sont en quête permanente de talents formés et opérationnels. 

Améliorer et maintenir son employabilité tout au long de sa carrière sont devenus des actions essentielles dans un marché du travail en perpétuelle évolution. Les compétences techniques d’aujourd’hui peuvent rapidement devenir obsolètes, particulièrement dans le contexte de la transformation digitale des entreprises. 

Adopter une attitude proactive en matière de veille, de formation continue, en valorisant ses compétences transversales et transférables, en montrant sa capacité d’adaptation permet de rester compétitif, quel que soit son secteur d’activité.

En investissant dans votre employabilité, vous démontrez aux employeurs votre engagement à évoluer avec votre métier et à apporter une valeur ajoutée durable. 

Que vous soyez en poste ou en recherche d’opportunités, ces bonnes pratiques vous aideront à rester attractif aux yeux des employeurs, tout en assurant votre croissance professionnelle sur le long terme.

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Quel est le rôle du product owner dans une organisation Agile ?

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Le métier de Product Owner (PO) vous intéresse ? Vous faites le bon choix, il a le vent en poupe. Le PO est un talent central de l’organisation des entreprises qui se sont tournées vers la méthode Agile. Voire même garant de leur succès ! C’est dire son importance. Sa popularité se fait ressentir dans les offres d’emploi, nombreuses. Mais aussi dans les rémunérations confortables proposées. Pour satisfaire une curiosité très bien placée, nous vous proposons de découvrir en profondeur le rôle du product owner dans une entreprise qui a opté pour un fonctionnement Agile.

Postites

Le product owner : un rôle pivot entre différentes équipes de l’entreprise

Le PO a une fonction transverse. Ses tâches quotidiennes se situent à l’intersection : 

  • Des besoins de l’entreprise.
  • Des attentes des utilisateurs. 
  • Des contraintes de l’équipe de développement. 

Avec les équipes de direction, il établit une vision claire du produit, en fonction des objectifs stratégiques de l’entreprise mais aussi des besoins concrets des utilisateurs du produit. 

Il doit ensuite communiquer cette vision aux équipes de développeurs. Pour cela, il travaille en étroite collaboration avec elles. Notamment, il participe à toutes les grandes étapes du développement produit : 

  • Aux différentes réunions d’affinage du backlog.
  • Au sprint planning.
  • À la revue de sprint.

De leur côté, les experts en développement doivent lui transmettre les contraintes et les obstacles qu’ils rencontrent. Le rôle du product owner est alors de répondre aux questions et de trouver des solutions qui conviennent à tous. 

En d’autres termes, le PO a un rôle pivot, situé à l’intersection des besoins de l’entreprise, des attentes des utilisateurs et des efforts des équipes de développement. Il doit casser la traditionnelle organisation en silos entre les équipes pour une meilleure efficacité interne.

Le product owner : un rôle de gardien du produit

Le PO s’assure que l’équipe de développement travaille sur les bonnes priorités et que les besoins métiers sont correctement traduits en fonctionnalités concrètes. 

En d’autres termes, il a un rôle de gardien de produit

  • Il veille à ce que les objectifs du produit soient atteints pour maximiser son potentiel final.
  • Il veille à ce que les fonctionnalités soient développées dans le temps imparti par la roadmap produit. 

Tout au long de la phase de conception, il doit s’assurer que le cahier des charges initial est respecté. Tout en faisant face aux aléas comme la résolution de bugs ou les blocages techniques.

Pour que les délais soient tenus, il doit définir et expliquer les attentes autour du produit et prioriser les tâches. Il est responsable du backlog produit

  • Il rédige les user stories : ce sont les descriptions des fonctionnalités attendues des utilisateurs sur le produit. 
  • Il priorise les fonctionnalités à sortir.

Le backlog n’est pas un outil figé. Bien au contraire. Dans un environnement Agile, les besoins des utilisateurs et les exigences métiers évoluent rapidement. Le Product Owner doit sans cesse réévaluer les priorités du backlog pour s’assurer que l’équipe travaille sur ce qui apportera la plus grande valeur à l’organisation.

Plusieurs facteurs doivent être pris en compte pour prioriser les tâches de développement

  • La valeur de la fonctionnalité pour l’entreprise. Il effectue une balance des intérêts entre le coût supporté et le retour sur investissement.
  • La faisabilité technique mise en avant par le développeur.
  • Le besoin de l’utilisateur final. Il doit se demander si la fonctionnalité attendue est essentielle pour l’utilisation attendue du produit. 
  • L’interdépendance entre différentes équipes. Bien souvent, une équipe ne peut pas avancer tant que l’autre n’a pas elle-même achevé sa partie du projet.

Dès que l’équipe développement avance dans la conception du produit, le product owner s’assure que tout est bien conforme aux attentes initiales. En fonction, il peut accepter ou demander des correctifs aux livrables qui lui sont soumis.

Quel est le rôle du Product Owner dans un projet scrum ?

Le scrum est l’une des méthodes Agile. Il est l’un des framework possibles, à côté du Kanban, de l’AgilePm ou du Lean Development.

Le scrum master est l’un de ses maillons importants. Son rôle se complète parfaitement avec celui dévolu au product owner. 

Le Scrum Master est un facilitateur de travail

  • Il s’assure que les équipes respectent les principes Agile et Scrum. 
  • Il aide à éliminer les obstacles qui pourraient ralentir l’équipe. 

Le Scrum master veille à ce que l’équipe soit productive pendant que le PO s’assure qu’elle travaille sur les bonnes fonctionnalités. 

Une bonne communication entre ces 2 acteurs est donc essentielle pour le succès du projet.

Quelles sont les compétences essentielles des PO pour mener à bien leurs responsabilités ?

Les différents rôles précédemment exposés du Product Owner exigent une combinaison de hard skills et de soft skills. Pour réussir votre entretien d’embauche de product owner, ce sont elles que vous devez mettre en avant.

Les compétences techniques indispensables : 

  • Une bonne maîtrise des aspects techniques du produit ou du service commercialisé.
  • Une vision stratégique des enjeux de l’entreprise pour aligner la roadmap en conséquence. 
  • Des compétences informatiques pour comprendre le quotidien des développeurs.
  • Une bonne connaissance de la gestion de projet.
  • Une bonne maîtrise des outils collaboratifs : Jira, slack, Trello, Kanban
  • Une bonne maîtrise des méthodes Agile et Scrum.

Les compétences comportementales indispensables : 

  • Excellente communication : comme il est le lien entre les parties prenantes et l’équipe de développement, une communication claire et efficace est essentielle. Le PO doit pouvoir expliquer les besoins métiers aux développeurs et, inversement, clarifier les contraintes techniques aux décideurs.
  • De la flexibilité : dans un environnement Agile, tout change rapidement. Le PO doit être prêt à ajuster ses plans en fonction des nouveaux retours, des évolutions du marché ou des contraintes techniques imprévues.
  • Un leadership.
  • L’esprit d’équipe.

Bon à savoir : une solide formation de product owner est nécessaire pour se doter de toutes ces compétences essentielles. N’hésitez pas à parler de votre projet à un organisme de formation spécialisé dans le digital, la tech et l’IT. Fitec est l’un d’entre eux.

Rôles du PO (product owner), ce qu’il faut retenir

Le rôle du product owner est indéniablement stratégique dans une organisation Agile.

  • Gardien du produit, il s’assure que ce dernier est conforme à la vision établie par toutes les parties prenantes.
  • Chef d’orchestre, il fait le lien entre toutes les équipes qui interviennent sur le produit.

La gestion des attentes de chacun est sans doute l’un des plus grands obstacles. Il doit équilibrer les demandes souvent contradictoires des utilisateurs, des managers, des investisseurs et des développeurs.

Grâce à une priorisation rigoureuse et à une communication fluide, il s’assure de maximiser la valeur du produit livré. 

Pour mener à bien ses responsabilités, le product owner évolue dans un cadre Agile. La méthode de travail Scrum l’aide à structurer le travail des équipes.  

Vous avez un objectif de reconversion professionnelle en CDI ? Vous souhaitez monter en compétences pour diversifier vos missions (upskilling) ? Jeune diplômé, vous cherchez un métier du digital avec des missions diversifiées, un bon salaire et des responsabilités ? La formation de product owner est alors faites pour vous !

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10 compétences clés pour devenir Data analyst

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Le métier de data analyst vous intéresse ? Vous avez bien raison ! Ce professionnel de la data est particulièrement recherché par les employeurs. Et pour cause, ses compétences sont devenues indispensables pour garantir la compétitivité de l’entreprise pour laquelle il travaille. Vous n’aurez donc aucune difficulté à trouver un emploi. Dans tous les secteurs d’activité (banque, santé, juridique et fiscal, immobilier…). Pour vous donner toutes les chances de taper dans l’œil des recruteurs, mieux vaut avoir toutes les compétences nécessaires pour devenir un bon data analyst. Quelles sont les compétences techniques (hard skills) à avoir sur son CV ? Quelles sont les compétences comportementales (soft skills) à mettre en avant ? Toutes nos réponses dans cet article.

RH sur un tableau Excel

À quoi servent les compétences clés des data analyst ?

Le data analyst manie les données de l’entreprise. Avec celles-ci, il a pour missions de : 

  • Recueillir les données utiles de l’entreprise.
  • Les analyser.
  • Les traduire pour les rendre exploitables auprès des différents services de l’entreprise.
  • Les mettre en scène sur différents supports pour les rendre compréhensibles auprès de tous. On parle de visualisation des données (ou dataviz).

Son travail est fondamental dans un monde de plus en plus digitalisé. Il permet à l’entreprise d’élaborer une stratégie business éclairée. Sans une fine analyse des données collectées, les bonnes orientations ne pourront pas être prises. C’est la croissance de l’organisation qui est en jeu ! 

Bon à savoir : votre expérience professionnelle vous permet d’évoluer vers des postes de Lead Analyst, Data security Manager, Data Scientist et Chief data Officer. Vous pouvez aussi exercer votre emploi comme consultant.

Quelles sont les compétences techniques clés d’un bon data analyst ?

Pour remplir une à une les différentes missions qui incombent aux data analyst, ceux-ci doivent avoir dans leur escarcelle différentes compétences techniques (hard skills).

Portrait-robot du bon data analyst : 

  • Maîtrise des langages de programmation. Il en existe plusieurs. Il est important qu’il en manie un ou plusieurs. Par exemple, Python, SQL, R…
  • Maîtrise des outils de visualisation des données : Power BI, Qlik, Looker studio, Tableau…
  • Maîtrise des bases de données : MySQL, MongoDB, Snowflake…
  • Connaissances en Big data et maîtrise des outils de traitement des données : Hadoop, Cassandra, Rapidminder ou Storm…

Bon à savoir : pour vous épanouir dans ce métier, vous devez nécessairement avoir de l’appétence pour les matières scientifiques comme les mathématiques et les statistiques. L’intelligence artificielle et le Big data doivent piquer votre curiosité.

Quelles sont les soft skills clés d’un bon data analyst ?

Pour exceller sur un poste de data analyst, les compétences techniques doivent être accompagnées de compétences comportementales (savoir-être ou soft skills).

Le data analyst collecte et transcrit des données pour les mettre à disposition d’autres équipes de l’entreprise. Il n’est pas un salarié solitaire dans l’entreprise. C’est un profil clé qui interagit avec les autres collaborateurs. 

De ce fait : 

  • Une bonne aisance relationnelle est requise
  • Tout comme le goût du travail en équipe
  • Mais aussi une certaine réactivité pour répondre aux sollicitations plus ou moins urgentes des uns et des autres.

Dans son quotidien, le data analyst manie un nombre très volumineux de chiffre. Pour restituer un ensemble cohérent et intelligible, ses points forts sont : 

  • L’organisation.
  • La rigueur.

Enfin, le data analyst ne doit pas paniquer face aux difficultés techniques qu’il peut rencontrer chaque jour. Il manie de nombreux outils numériques. De ce fait, il doit être en capacité de : 

  • Résoudre des problèmes complexes et y trouver des solutions.

Des compétences clés pour quel salaire quand on est data analyst ?

Les data analyst font partie des métiers porteurs du digital. À l’ère du tout numérique, les entreprises ne peuvent plus se passer de ces talents. En conséquence, l’offre d’emploi est bien supérieure à la demande. Les recruteurs peinent à dénicher des candidats, attirer les talents et fidéliser les profils formés disponibles sur le marché de l’emploi.

La rémunération est un élément clé pour capter les candidats. Les salaires affichés dans les annonces d’emploi sont à la mesure du besoin en recrutement : élevé. Le data analyst est l’un des métiers les plus payés

Pour preuve, la data analyst peut prétendre aux salaires suivants (Étude de rémunérations 2025 Michael Page, salaire en région Île-de-France)

  • Moins de 2 ans d’expérience : entre 40 et 45 000 euros brut par an.
  • Entre 2 et 5 ans : entre 45 et 55 000 euros brut par an.
  • Entre 5 et 10 ans : entre 55 et 70 000 euros brut par an.
  • Plus de 10 ans d’expérience : entre 70 et 80 000 euros brut par an.

Bon à savoir : selon le secteur d’activité dans lequel le data analyst travaille et les connaissances spécifiques demandées sur les produits commercialisés par l’entreprise, le salaire peut faire un bond de plusieurs centaines d’euros par mois.

Quelle formation suivre pour acquérir les compétences clés d’un bon data analyst ?

Les compétences exigées d’un bon data analyst ne s’improvisent pas. Elles s’apprennent au cours d’une formation complète et détaillée. Bonne nouvelle ! Le métier de data analyst est ouvert à différents profils. Les parcours de formation sont nombreux.

Les études post bac pour devenir data analyst

A minima, les étudiants doivent avoir un Bac +3 pour répondre aux exigences des recruteurs. Les diplômes sont délivrés dans les universités, les écoles spécialisées ou les organismes de formation : Licence, Bachelor ou BUT. 

Si vous souhaitez poursuivre vos études, vous pouvez approfondir vos compétences avec un Master universitaire ou un Mastère délivré par une école ou un organisme de formation (Bac +5). 

Par exemple, l’École PMN propose aux étudiants un Mastère Data analyst sur 2 ans, accessible en alternance.

La formation continue pour devenir data analyst

Dans le cadre d’une reconversion informatique ou pour monter en compétences au sein de votre entreprise, de nombreuses formations continues de data analyst sont accessibles. Elles vous permettent, sur un format généralement court, d’apprendre les bases du métier. 

Fitec, organisme de formation reconnu dans le digital, la tech et l’IT propose une formation de data analyst

  • D’une durée de 3 mois.  
  • Qui délivre une certification RNCP Data Engineer de niveau 7 (bac+5) reconnue par l’État. 
  • Avec un taux de retour à l’emploi de 83 %.

Elle s’adresse particulièrement aux salariés qui ont déjà une expérience professionnelle. Pour s’inscrire, vous devez : 

  • Être titulaire d’une certification professionnelle ou d’un diplôme de niveau 5 (bac+2) ou niveau 6 (bac+3) dans le domaine, de l’informatique, du développement, ou le domaine scientifique-mathématiques et justifiant d’au moins 1 année d’expérience professionnelle dans ces secteurs
  • Avoir une première expérience dans le domaine de la gestion de données, la modélisation, le développement objet et/ou web, le décisionnel ou les techniques statistiques.

Et bien entendu, présenter un réel intérêt pour les nouvelles technologies, l’intelligence artificielle (IA) et le big data ! 

Bon à savoir : pensez à votre CPF pour le financement de votre formation de data analyst.

Data analyst, ce qu’il faut retenir

Vous aimez les mathématiques, les statistiques, les outils numériques ? Le big data et l’intelligence artificielle vous fascinent ? Vous ne regretterez pas de suivre une formation dans la data. Les débouchés sont nombreux. Le métier de Data analyst fait partie des emplois porteurs du digital. Le salaire est confortable. 

Pour réussir sa reconversion en data analyst et vous donner les meilleures chances d’être embauché dans l’entreprise de vos rêves, de solides compétences sont attendues : 

  • Compétences techniques : 
    1. Maîtrise des langages de programmation. 
    2. Maîtrise des outils de visualisation des données.
    3. Maîtrise des bases de données.
    4. Connaissances en Big data et maîtrise des outils de traitement des données.
  • Compétences comportementales : 
    1. Aisance relationnelle.
    2. Goût du travail en équipe. 
    3. Réactivité.
    4. Organisation.
    5. Rigueur.
    6. Résolution de problèmes complexes.

Le data analyst a un rôle clé en entreprise. Ses missions d’analyse et de restitution des données sont essentielles pour orienter la stratégie et le business de l’organisation.

La certification obtenue à l’issue de vos études assure votre avenir professionnel. Bonne formation !

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